A la tribune de l’Organisation Internationale du Travail (OIT), ce lundi 12 juin 2017 le Ministre Sidi Tiémoko Touré a expliqué la Politique du Gouvernement ivoirien de l’Emploi Vert. C’était à la « Commission pour l’emploi et le travail décent pour la transition vers la paix », de la 106ème session de la Conférence Internationale du Travail à Genève, en Suisse.
Il a avant tout, salué le rapport de M Guy Ryder Directeur de l’OIT intitulé « Travail et changement climatique : l’initiative verte », qui plaide pour une écologisation du monde du travail jugé indispensable.
« La Côte d’Ivoire affiche son adhésion et apporte son soutien total et sans condition à cette initiative, qui constitue l’un des défis majeurs de notre ère et de notre planète, car comme le dit le rapport ’’la lutte contre le changement climatique signifie pour le monde du travail, des défis et perspectives qui en découlent’’ », a- t-il expliqué.
Des opportunités d’insertion
Pour la Côte d’Ivoire, les opportunités d’emplois verts concernent la gestion et le traitement des déchets, le reboisement. A cet effet le Ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, à travers l’Agence Emploi Jeunes, s’est engagé aux côtés des jeunes pour développer des projets innovants. Ce sont notamment ceux qui s’inscrivent dans le processus de la réduction de l’empreinte écologique comme, la lombriculture, le tri sélectif et d’optimisation des déchets, la transformation des déchets plastiques en géo-pavé, la transformation des résidus de bananiers en fibre, pour la confection de sacs et autres objets.
Toutes ces actions émanent de la volonté du Président de la République Alassane Ouattara qui a inscrit au rang des priorités nationales, la question de la promotion de l’emploi décent des jeunes, afin de favoriser leur accès à l’emploi, aux métiers et aux revenus.
Plusieurs actions sont en cours. Toutefois, il faut promouvoir des actions complémentaires reconnaît le Ministre Sidi Touré. Selon lui, il faut veiller à renforcer les activités et les investissements écologiques à forte intensité de main d’œuvre. Ce, dans les secteurs de l’assainissement, de la gestion des déchets, de la pollution industrielle, des ressources naturelles et de la lutte contre la déforestation, ainsi que de la maîtrise de l’énergie et du développement des énergies durables.
Ouverte le 5 juin, la 106ème conférence Internationale du Travail se poursuit jusqu’au 16 juin 2017.
Il a avant tout, salué le rapport de M Guy Ryder Directeur de l’OIT intitulé « Travail et changement climatique : l’initiative verte », qui plaide pour une écologisation du monde du travail jugé indispensable.
« La Côte d’Ivoire affiche son adhésion et apporte son soutien total et sans condition à cette initiative, qui constitue l’un des défis majeurs de notre ère et de notre planète, car comme le dit le rapport ’’la lutte contre le changement climatique signifie pour le monde du travail, des défis et perspectives qui en découlent’’ », a- t-il expliqué.
Des opportunités d’insertion
Pour la Côte d’Ivoire, les opportunités d’emplois verts concernent la gestion et le traitement des déchets, le reboisement. A cet effet le Ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, à travers l’Agence Emploi Jeunes, s’est engagé aux côtés des jeunes pour développer des projets innovants. Ce sont notamment ceux qui s’inscrivent dans le processus de la réduction de l’empreinte écologique comme, la lombriculture, le tri sélectif et d’optimisation des déchets, la transformation des déchets plastiques en géo-pavé, la transformation des résidus de bananiers en fibre, pour la confection de sacs et autres objets.
Toutes ces actions émanent de la volonté du Président de la République Alassane Ouattara qui a inscrit au rang des priorités nationales, la question de la promotion de l’emploi décent des jeunes, afin de favoriser leur accès à l’emploi, aux métiers et aux revenus.
Plusieurs actions sont en cours. Toutefois, il faut promouvoir des actions complémentaires reconnaît le Ministre Sidi Touré. Selon lui, il faut veiller à renforcer les activités et les investissements écologiques à forte intensité de main d’œuvre. Ce, dans les secteurs de l’assainissement, de la gestion des déchets, de la pollution industrielle, des ressources naturelles et de la lutte contre la déforestation, ainsi que de la maîtrise de l’énergie et du développement des énergies durables.
Ouverte le 5 juin, la 106ème conférence Internationale du Travail se poursuit jusqu’au 16 juin 2017.