En prélude à la vingt-et-unième Conférence des Parties (COP21) sur le climat, la Côte d’Ivoire a soumis, en septembre 2015, ses Contributions Prévues Déterminées au niveau National (INDC), grâce aux efforts conjugués de toutes les parties prenantes nationales issues de tous les secteurs d’activités. A en croire la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, ces efforts conjugués ont permis de présenter à toute la communauté internationale, « nos ambitions de réduction de nos émissions de Gaz à effet de Serre de 28% à l’horizon 2030 et nos ambitions de résilience sur 11 secteurs vulnérables dont 6 à forte vulnérabilité».
Les efforts de réduction en question, toujours à en croire Anne Désirée Ouloto qui s’est exprimée récemment à la Primature, sont importants. Elle a fait cette adresse lors de la restitution nationale de la participation de la Côte d’Ivoire à la Cop 22 et au lancement des préparatifs de la Cop 23 prévue en Allemagne en novembre prochain. Ces efforts reposent sur plusieurs engagements.
Ce sont notamment, l’augmentation de la part des énergies renouvelables de 16% dans le mix énergétique et l’amélioration de l’efficacité énergétique dans tous les secteurs d’activités.
A cela, il faut ajouter la promotion d’une agriculture intelligente face au climat. Tout comme la promotion d’une économie circulaire visant la réutilisation des produits après consommation et la réduction des déchets.
Ce n’est pas tout. Car la Côte d’Ivoire a de réels soucis face aux défis du climat. Et le membre du gouvernement ne s’en cache pas du tout. Même si elle soutient que « contrairement à tout ce qui pourrait se dire ça et là, la Côte d’Ivoire est en marche vers un développement durable et respecte » ses accords internationaux.
« Il est évident qu’il reste beaucoup à faire. A ce propos, je voudrais tourner mon regard vers nos partenaires techniques et financiers. La mise en œuvre de nos Contributions Déterminées au Niveau National (NDC) nécessite que tous les acteurs nationaux de la lutte contre les Changements Climatiques soient performants, afin de pouvoir relever les défis et atteindre l’objectif de réduction de 28% des émissions de Gaz à Effet de Serre à l’horizon 2030 », se préoccupe Anne Désirée Ouloto.
La Côte d’Ivoire a décidé on le sait, de mobiliser tous les moyens nécessaires pour assurer sa transition énergétique, pour développer de façon durable son agriculture et pour intégrer ses déchets dans une économie circulaire. « Cependant, la mobilisation des ressources nationales (financières, ressources humaines, etc.) reste insuffisante face aux effets néfastes des changements climatiques et face aux défis de développement durable. Nous avons plus que jamais besoin de votre expertise et de votre appui si précieux », souhaite la ministre ivoirienne de l’Environnement.
Ne pas perdre les acquis. Relever les défis des Objectifs de Développement Durable (ODD), en particulier l’ODD13 relatif à la lutte contre les changements climatiques. Tels sont les efforts à consentir notamment par la Côte d’Ivoire par rapport aux défis climatiques attendus à Bonn en Allemagne lors de la Cop 23.
Félix Teha Dessrait
Les efforts de réduction en question, toujours à en croire Anne Désirée Ouloto qui s’est exprimée récemment à la Primature, sont importants. Elle a fait cette adresse lors de la restitution nationale de la participation de la Côte d’Ivoire à la Cop 22 et au lancement des préparatifs de la Cop 23 prévue en Allemagne en novembre prochain. Ces efforts reposent sur plusieurs engagements.
Ce sont notamment, l’augmentation de la part des énergies renouvelables de 16% dans le mix énergétique et l’amélioration de l’efficacité énergétique dans tous les secteurs d’activités.
A cela, il faut ajouter la promotion d’une agriculture intelligente face au climat. Tout comme la promotion d’une économie circulaire visant la réutilisation des produits après consommation et la réduction des déchets.
Ce n’est pas tout. Car la Côte d’Ivoire a de réels soucis face aux défis du climat. Et le membre du gouvernement ne s’en cache pas du tout. Même si elle soutient que « contrairement à tout ce qui pourrait se dire ça et là, la Côte d’Ivoire est en marche vers un développement durable et respecte » ses accords internationaux.
« Il est évident qu’il reste beaucoup à faire. A ce propos, je voudrais tourner mon regard vers nos partenaires techniques et financiers. La mise en œuvre de nos Contributions Déterminées au Niveau National (NDC) nécessite que tous les acteurs nationaux de la lutte contre les Changements Climatiques soient performants, afin de pouvoir relever les défis et atteindre l’objectif de réduction de 28% des émissions de Gaz à Effet de Serre à l’horizon 2030 », se préoccupe Anne Désirée Ouloto.
La Côte d’Ivoire a décidé on le sait, de mobiliser tous les moyens nécessaires pour assurer sa transition énergétique, pour développer de façon durable son agriculture et pour intégrer ses déchets dans une économie circulaire. « Cependant, la mobilisation des ressources nationales (financières, ressources humaines, etc.) reste insuffisante face aux effets néfastes des changements climatiques et face aux défis de développement durable. Nous avons plus que jamais besoin de votre expertise et de votre appui si précieux », souhaite la ministre ivoirienne de l’Environnement.
Ne pas perdre les acquis. Relever les défis des Objectifs de Développement Durable (ODD), en particulier l’ODD13 relatif à la lutte contre les changements climatiques. Tels sont les efforts à consentir notamment par la Côte d’Ivoire par rapport aux défis climatiques attendus à Bonn en Allemagne lors de la Cop 23.
Félix Teha Dessrait