Abidjan - Le gouvernement ivoirien a encouragé à plus d’efforts pour la mise en œuvre du cadre d’action Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030, à l’occasion vendredi, de la commémoration à Abidjan, de la journée internationale pour la prévention des risques de catastrophes.
Le directeur de cabinet adjoint du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Nasséré Kaba, représentant la ministre Anne Ouloto à cette occasion, a mis en relief, l’impérieuse nécessité de la mise en œuvre de ce cadre qui privilégie l’élaboration de mécanisme de prévention des risques et à limiter les pertes et dommages associés aux catastrophes.
« J’exhorte toutes les institutions du secteur public et privé, des collectivités, des communautés et l’ensemble des partenaires techniques et financiers à redoubler d’efforts pour mettre effectivement en œuvre, le cadre de Sendai 2015-2030 », a-t-elle lancé.
Elle a rappelé que depuis, 1980, les efforts de développement sont soumis à des risques de catastrophes croissants, mettant l’économie mondiale en difficulté, l’insécurité alimentaire et énergétique, le changement climatique à l’échelle mondiale, la dégradation des écosystèmes, la pauvreté extrême et la menace d’épidémie.
« L’exposition de l’homme aux aléas naturels s’accentue. Les catastrophes naturelles deviennent de plus en plus récurrentes et sévères avec des enjeux socio-économiques importants qui touchent l’agriculture à travers les pertes des récoltes, de l’industrie à travers les dommages causés », a prévenu Mme Kaba.
Le Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030 a été adopté lors de la troisième Conférence mondiale de l'ONU tenue à Sendai au Japon le 18 mars 2015. Il est le résultat de consultations lancées en mars 2012 et de négociations intergouvernementales menées de juillet 2014 à mars 2015 sur demande de l'Assemblée générale de l'ONU et avec l'appui du Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe.
Il s’est assigné diverses priorités, notamment comprendre les risques de catastrophe, renforcer la gouvernance des risques de catastrophe pour mieux les gérer, investir dans la réduction des risques de catastrophe pour renforcer la résilience et améliorer la préparation pour une intervention efficace et pour « Faire et reconstruire mieux ».
gak/kam
Le directeur de cabinet adjoint du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Nasséré Kaba, représentant la ministre Anne Ouloto à cette occasion, a mis en relief, l’impérieuse nécessité de la mise en œuvre de ce cadre qui privilégie l’élaboration de mécanisme de prévention des risques et à limiter les pertes et dommages associés aux catastrophes.
« J’exhorte toutes les institutions du secteur public et privé, des collectivités, des communautés et l’ensemble des partenaires techniques et financiers à redoubler d’efforts pour mettre effectivement en œuvre, le cadre de Sendai 2015-2030 », a-t-elle lancé.
Elle a rappelé que depuis, 1980, les efforts de développement sont soumis à des risques de catastrophes croissants, mettant l’économie mondiale en difficulté, l’insécurité alimentaire et énergétique, le changement climatique à l’échelle mondiale, la dégradation des écosystèmes, la pauvreté extrême et la menace d’épidémie.
« L’exposition de l’homme aux aléas naturels s’accentue. Les catastrophes naturelles deviennent de plus en plus récurrentes et sévères avec des enjeux socio-économiques importants qui touchent l’agriculture à travers les pertes des récoltes, de l’industrie à travers les dommages causés », a prévenu Mme Kaba.
Le Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030 a été adopté lors de la troisième Conférence mondiale de l'ONU tenue à Sendai au Japon le 18 mars 2015. Il est le résultat de consultations lancées en mars 2012 et de négociations intergouvernementales menées de juillet 2014 à mars 2015 sur demande de l'Assemblée générale de l'ONU et avec l'appui du Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe.
Il s’est assigné diverses priorités, notamment comprendre les risques de catastrophe, renforcer la gouvernance des risques de catastrophe pour mieux les gérer, investir dans la réduction des risques de catastrophe pour renforcer la résilience et améliorer la préparation pour une intervention efficace et pour « Faire et reconstruire mieux ».
gak/kam