Abidjan, 20 oct (AIP)- Le procès pour "divulgation de fausses nouvelles" de Michel Gbagbo a été renvoyé ce vendredi à une date ultérieure, en raison de l’absence de l'ordonnance de vacation qui organise le programme des audiences, a appris l’AIP de source judiciaire.
En l’absence de ce texte règlementaire, tous les procès programmés pour ce jour ont été reportés sin die, a précisé la source.
Le fils l’ex-président ivoirien est jugé en même temps que le directeur général du site d'information Koaci.com, Laurent Despa, tous deux poursuivis de divulgation de "fausses nouvelles relativement à l’existence en Côte d’Ivoire de prisonniers politiques".
Dans cet entretien, Michel Gbagbo avait déclaré qu'"à la date du 30 mars 2016, 250 personnes étaient encore détenues dans les prisons" ivoiriennes et que "300 personnes inculpées et placées sous mandat de dépôt depuis 2011 sont portées disparues".
Le procureur de la république a réagi pour dire que le parquet "n'a été saisi d'aucun cas de disparition d'inculpés de la crise postélectorale", critiquant les déclarations de Michel Gbagbo "sans fondement et mensongères", rappelle-t-on.
(AIP)
kp
En l’absence de ce texte règlementaire, tous les procès programmés pour ce jour ont été reportés sin die, a précisé la source.
Le fils l’ex-président ivoirien est jugé en même temps que le directeur général du site d'information Koaci.com, Laurent Despa, tous deux poursuivis de divulgation de "fausses nouvelles relativement à l’existence en Côte d’Ivoire de prisonniers politiques".
Dans cet entretien, Michel Gbagbo avait déclaré qu'"à la date du 30 mars 2016, 250 personnes étaient encore détenues dans les prisons" ivoiriennes et que "300 personnes inculpées et placées sous mandat de dépôt depuis 2011 sont portées disparues".
Le procureur de la république a réagi pour dire que le parquet "n'a été saisi d'aucun cas de disparition d'inculpés de la crise postélectorale", critiquant les déclarations de Michel Gbagbo "sans fondement et mensongères", rappelle-t-on.
(AIP)
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