Ce jeudi 02 novembre 2017. Dans une ambiance féerique les jeunes de Côte d’Ivoire se sont donné rendez-vous dans la commune d’Abobo pour célébrer la Journée africaine de la jeunesse en présence du Ministre Sidi Touré, des représentants des institutions internationales (UA, UNFPA) et nationales, les autorités administratives et politiques.
Selon Mme Josephine Charlotte Mayuma Kala, représentante de la Présidente de la commission de l’Union Africaine (UA), cette journée met l’accent sur « toutes les questions liées à la jeunesse. Notamment : l’emploi, l’éducation, l’autonomisation, la santé et l’immigration des jeunes pour un développement durable du continent africain en conformité avec la vision de l’agenda 2063 de l’Union africaine ».
Pour le Ministre Sidi Tiémoko Touré cette célébration de la jeunesse prend tout son sens à travers le thème porté par l’Union Africaine : « Tirer pleinement profit du dividende démographique en investissant dans la jeunesse».
« Les jeunes constituent une préoccupation majeure de l’Union africaine, d’où le sens de la célébration de la jeunesse, car l’avenir de l’Afrique est entre les mains des jeunes », a prévenu la représentante de l’union africaine.
Ainsi, le Ministre Sidi Touré a relevé que les jeunes représentent plus de 60% de la population globale du continent et un peu plus de 40% de la population active. Par ailleurs, a-t-il dit, au regard des perspectives, dans les 20 prochaines années, la population jeune en Afrique avoisinera les 340 millions.
Pour répondre à cette transition démographique, le ministre a invité les Etats à agir dans la santé des populations à travers la promotion de la «Révolution Contraceptive», l’éducation, avec le développement d’un programme en santé sexuelle et de la reproduction, l’économie et l’emploi par la promotion de la formation technique adaptée aux exigences du marché, la gouvernance et le genre.
«Bon nombre de pays de notre continent ont atteint cette phase critique de la transition démographique où il faut investir massivement et durablement dans la santé, l’éducation, la création d’emplois et la prévention des mariages précoces afin de créer les opportunités d’une croissance durable et inclusive », a expliqué le ministre.
C’est la raison pour laquelle l’Union Africaine a instauré cette journée pour mobiliser tous les dirigeants africains pour travailler de sorte à résoudre les préoccupations auxquelles les jeunes sont confrontés.
Ainsi, des actions et des investissements dans des secteurs majeurs seront définis en vue d’instaurer un environnement favorable au plein épanouissement et au développement du potentiel de la jeunesse, face aux défis auxquels celle-ci est confrontée.
En Côte d’Ivoire, c’est autour d’un panel que les défis des jeunes ont été débattus. Il y avait Mme Argentina Matavel Picicin, représentante du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), M. Hinin Moustapha, Directeur de l’Office National de la Population (ONP) et Mme Josephine Charlotte Mayuma Kala, représentante de la présidente de la commission de l’Union Africaine (UA).
« Ce panel a permis de marquer notre engagement dans la consolidation des acquis, en prenant notre place et en jouant notre rôle dans la vie citoyenne et économique de la Nation » a conclu Edima Emanuel, Président du Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI).
Selon Mme Josephine Charlotte Mayuma Kala, représentante de la Présidente de la commission de l’Union Africaine (UA), cette journée met l’accent sur « toutes les questions liées à la jeunesse. Notamment : l’emploi, l’éducation, l’autonomisation, la santé et l’immigration des jeunes pour un développement durable du continent africain en conformité avec la vision de l’agenda 2063 de l’Union africaine ».
Pour le Ministre Sidi Tiémoko Touré cette célébration de la jeunesse prend tout son sens à travers le thème porté par l’Union Africaine : « Tirer pleinement profit du dividende démographique en investissant dans la jeunesse».
« Les jeunes constituent une préoccupation majeure de l’Union africaine, d’où le sens de la célébration de la jeunesse, car l’avenir de l’Afrique est entre les mains des jeunes », a prévenu la représentante de l’union africaine.
Ainsi, le Ministre Sidi Touré a relevé que les jeunes représentent plus de 60% de la population globale du continent et un peu plus de 40% de la population active. Par ailleurs, a-t-il dit, au regard des perspectives, dans les 20 prochaines années, la population jeune en Afrique avoisinera les 340 millions.
Pour répondre à cette transition démographique, le ministre a invité les Etats à agir dans la santé des populations à travers la promotion de la «Révolution Contraceptive», l’éducation, avec le développement d’un programme en santé sexuelle et de la reproduction, l’économie et l’emploi par la promotion de la formation technique adaptée aux exigences du marché, la gouvernance et le genre.
«Bon nombre de pays de notre continent ont atteint cette phase critique de la transition démographique où il faut investir massivement et durablement dans la santé, l’éducation, la création d’emplois et la prévention des mariages précoces afin de créer les opportunités d’une croissance durable et inclusive », a expliqué le ministre.
C’est la raison pour laquelle l’Union Africaine a instauré cette journée pour mobiliser tous les dirigeants africains pour travailler de sorte à résoudre les préoccupations auxquelles les jeunes sont confrontés.
Ainsi, des actions et des investissements dans des secteurs majeurs seront définis en vue d’instaurer un environnement favorable au plein épanouissement et au développement du potentiel de la jeunesse, face aux défis auxquels celle-ci est confrontée.
En Côte d’Ivoire, c’est autour d’un panel que les défis des jeunes ont été débattus. Il y avait Mme Argentina Matavel Picicin, représentante du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), M. Hinin Moustapha, Directeur de l’Office National de la Population (ONP) et Mme Josephine Charlotte Mayuma Kala, représentante de la présidente de la commission de l’Union Africaine (UA).
« Ce panel a permis de marquer notre engagement dans la consolidation des acquis, en prenant notre place et en jouant notre rôle dans la vie citoyenne et économique de la Nation » a conclu Edima Emanuel, Président du Conseil National des Jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI).