Le Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo, est ce mardi devant les députés membres de la Commission des affaires économiques et financières (Caef), à l’Assemblée nationale, en vue de l’examen et de l’adoption du projet de budget 2018.
Ce budget 2018, qui s’équilibre en ressources et en charges à 6 723,5 milliards de francs CFA, est en hausse de 4,3 % par rapport au collectif budgétaire de l’année 2017.
Les ressources sont constituées à plus de 80% de ressources intérieures, fiscales et non fiscales tandis que les investissements représentent 29,6% des dépenses. Les dépenses pro-pauvres, en faveur des populations défavorisées, sont évaluées à 2290,8 milliards de francs CFA, en augmentation de 10,7% par rapport à 2017.
Le projet de budget de l’année 2018 traduit la constance et la rigueur de la politique budgétaire du Gouvernement. Il dénote une bonne maîtrise des charges de fonctionnement, accroissant ainsi les marges nécessaires à la politique d’investissement de l’Etat.
Il consacre la poursuite de la mise en œuvre des priorités du Gouvernement, notamment l’accroissement de l’offre d’infrastructures socio-économiques et de services de base, l’amélioration du système d’éducation pour l’adapter au mieux au marché du travail, la consolidation du système de santé afin de le rendre davantage accessible aux couches les plus démunies et l’amélioration de la situation alimentaire de la population.
Le projet de budget de l’année 2018 accorde également une attention particulière à la création d’emplois, notamment pour les jeunes, et intègre la nécessité du renforcement du dispositif sécuritaire et de défense pour la rendre plus résiliente dans le contexte sous régional actuel de menaces terroristes.
Ainsi, le projet d’annexe fiscale à la loi de finances pour l’année 2018 intègre diverses mesures de soutien aux entreprises, de renforcement des moyens de l’Etat, de rationalisation du dispositif fiscal ainsi que des mesures à caractère social. Certaines de ces mesures sont de nature à accroitre les recettes fiscales et à améliorer la pression fiscale, relève-t-on.
bsp/fmo
Ce budget 2018, qui s’équilibre en ressources et en charges à 6 723,5 milliards de francs CFA, est en hausse de 4,3 % par rapport au collectif budgétaire de l’année 2017.
Les ressources sont constituées à plus de 80% de ressources intérieures, fiscales et non fiscales tandis que les investissements représentent 29,6% des dépenses. Les dépenses pro-pauvres, en faveur des populations défavorisées, sont évaluées à 2290,8 milliards de francs CFA, en augmentation de 10,7% par rapport à 2017.
Le projet de budget de l’année 2018 traduit la constance et la rigueur de la politique budgétaire du Gouvernement. Il dénote une bonne maîtrise des charges de fonctionnement, accroissant ainsi les marges nécessaires à la politique d’investissement de l’Etat.
Il consacre la poursuite de la mise en œuvre des priorités du Gouvernement, notamment l’accroissement de l’offre d’infrastructures socio-économiques et de services de base, l’amélioration du système d’éducation pour l’adapter au mieux au marché du travail, la consolidation du système de santé afin de le rendre davantage accessible aux couches les plus démunies et l’amélioration de la situation alimentaire de la population.
Le projet de budget de l’année 2018 accorde également une attention particulière à la création d’emplois, notamment pour les jeunes, et intègre la nécessité du renforcement du dispositif sécuritaire et de défense pour la rendre plus résiliente dans le contexte sous régional actuel de menaces terroristes.
Ainsi, le projet d’annexe fiscale à la loi de finances pour l’année 2018 intègre diverses mesures de soutien aux entreprises, de renforcement des moyens de l’Etat, de rationalisation du dispositif fiscal ainsi que des mesures à caractère social. Certaines de ces mesures sont de nature à accroitre les recettes fiscales et à améliorer la pression fiscale, relève-t-on.
bsp/fmo