Le Ministère de la Salubrité, de l’environnement et du développement durable en collaboration avec l’organisation des Nations Unies section Environnement (Onu Environnement) a organisé le jeudi 14 décembre, au Manhattan Suite hôtel d’Abidjan, un atelier de lancement national du projet (MIA). « Evaluation initiale de la convention de Minamata sur le mercure, en Afrique ».
Cet atelier vise non seulement le lancement officiel du projet mais surtout à informer les parties prenantes à la mise en œuvre du projet, « Evaluation initiale de la convention de Minamata sur le mercure, en Afrique ». Au cours de ces travaux il a été question de débattre sur la question du mercure en Afrique et en Côte d’Ivoire, mais surtout de présenter les acquis de la COP 21 sur la convention de Minamata.
En effet, dans le cadre de la convention internationale de Minamata juridiquement contraignante sur le mercure qui date de 2013, l’Onu Environnement a développé le projet « Evaluation initiale de la convention de Minamata sur le mercure en Afrique », en collaboration avec la Côte d’Ivoire, le Burundi, le Gabon, le Congo et la République Centrafricaine.
Ce projet vise à faciliter la ratification et la mise en œuvre de la convention de Minamata sur le mercure à travers l’utilisation des connaissances et des outils scientifiques et techniques. A l’ouverture de cet atelier, le Coordonnateur du Projet MIA, Dr Say Venance Martial, a d’abord souligné l’intérêt que les participants portent aux questions relatives à la gestion des produits chimiques, à leurs effets sur la santé humaine et l’environnement ainsi qu’à leurs impacts socio-économiques en Côte d’Ivoire. Et plus particulièrement les questions du mercure qui sont désormais liées à la convention de Minamata pour laquelle, la Côte d’Ivoire est partie.
Selon lui, ce projet « Evaluation initiale de la Convention de Minamata sur le mercure » doit permettre la prise de décision politique et stratégique et de donner la priorité aux zones pour une intervention future. « Je ne saurai terminer mon propos sans rendre également hommage aux parties prenantes et particulièrement aux membres du comité scientifique du programme national de gestion des produits chimiques qui n’ont pas failli à leur devoir d’appuyer les actions en faveur d’une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques, dans notre pays », a conclu Dr Say Venance Martial.
En outre, M. Dominique Bally Kpokro, Président du CASE (Centre Africain pour la Santé Environnementale) et vice-président Afrique pour l’Alliance Mondiale pour une dentisterie sans mercure, a-t-il pour sa part, révélé que le lancement de ce jour va permettre de collecter les données, à savoir les sources et rejets de mercure existant en Côte d’ Ivoire. « Par la même occasion, ce pays devra prendre les mesures vigoureuses pour aller dans le sens de la protection de la santé de sa population et de son environnement des effets délétères du mercure », a-t-il déclaré.
L’une des premières mesures s’avère prioritairement la ratification de la convention de Minamata sur le mercure et de ses textes d’application.
JOB ATTEMENE
Cet atelier vise non seulement le lancement officiel du projet mais surtout à informer les parties prenantes à la mise en œuvre du projet, « Evaluation initiale de la convention de Minamata sur le mercure, en Afrique ». Au cours de ces travaux il a été question de débattre sur la question du mercure en Afrique et en Côte d’Ivoire, mais surtout de présenter les acquis de la COP 21 sur la convention de Minamata.
En effet, dans le cadre de la convention internationale de Minamata juridiquement contraignante sur le mercure qui date de 2013, l’Onu Environnement a développé le projet « Evaluation initiale de la convention de Minamata sur le mercure en Afrique », en collaboration avec la Côte d’Ivoire, le Burundi, le Gabon, le Congo et la République Centrafricaine.
Ce projet vise à faciliter la ratification et la mise en œuvre de la convention de Minamata sur le mercure à travers l’utilisation des connaissances et des outils scientifiques et techniques. A l’ouverture de cet atelier, le Coordonnateur du Projet MIA, Dr Say Venance Martial, a d’abord souligné l’intérêt que les participants portent aux questions relatives à la gestion des produits chimiques, à leurs effets sur la santé humaine et l’environnement ainsi qu’à leurs impacts socio-économiques en Côte d’Ivoire. Et plus particulièrement les questions du mercure qui sont désormais liées à la convention de Minamata pour laquelle, la Côte d’Ivoire est partie.
Selon lui, ce projet « Evaluation initiale de la Convention de Minamata sur le mercure » doit permettre la prise de décision politique et stratégique et de donner la priorité aux zones pour une intervention future. « Je ne saurai terminer mon propos sans rendre également hommage aux parties prenantes et particulièrement aux membres du comité scientifique du programme national de gestion des produits chimiques qui n’ont pas failli à leur devoir d’appuyer les actions en faveur d’une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques, dans notre pays », a conclu Dr Say Venance Martial.
En outre, M. Dominique Bally Kpokro, Président du CASE (Centre Africain pour la Santé Environnementale) et vice-président Afrique pour l’Alliance Mondiale pour une dentisterie sans mercure, a-t-il pour sa part, révélé que le lancement de ce jour va permettre de collecter les données, à savoir les sources et rejets de mercure existant en Côte d’ Ivoire. « Par la même occasion, ce pays devra prendre les mesures vigoureuses pour aller dans le sens de la protection de la santé de sa population et de son environnement des effets délétères du mercure », a-t-il déclaré.
L’une des premières mesures s’avère prioritairement la ratification de la convention de Minamata sur le mercure et de ses textes d’application.
JOB ATTEMENE