Les questions liées aux changements climatiques et à la biodiversité sont au cœur des préoccupations des gouvernements et Etats du monde entier. La Côte d’Ivoire n’échappe pas à cette problématique. C’est pourquoi dans le cadre de l’opérationnalisation de ses Contributions Déterminées au niveau National (CDN), le Ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, à travers sa Direction de la Lutte contre les Changements Climatiques, a formulé le projet intitulé «promotion de l’intégration des changements climatiques, entre autre en renforçant la contribution de la biodiversité et les services écosystémiques dans la planification et la budgétisation des politiques nationales, sectorielles et locales en Côte d’Ivoire ». Le lancement de ce projet a eu lieu le jeudi 14 décembre 2017, à la Maison des Entreprises au Plateau, sous la présidence effective du Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, Mme Anne Désirée OULOTO, et en présence du Premier Secrétaire de l’Ambassade du Royaume de la Belgique en Côte d’Ivoire, d’experts internationaux et nationaux, du deuxième Adjoint au Maire de la Commune du Plateau, de représentants d’institutions et de la société civile.
Profitant de cette tribune, le Ministre Anne OULOTO a relevé que ce projet, qui sera financé par le Gouvernement Belge, arrive dans un contexte où la Côte d’Ivoire est confrontée à des problématiques environnementales majeures ; les forêts ivoiriennes ayant subies de nombreuses pressions tant par l’action de l’homme que par les pratiques agricoles abusives, l’urbanisation, etc, mais surtout par les effets des changements climatiques. Aussi, a-t-elle souligné que la non intégration des changements climatiques, de la biodiversité, des écosystèmes dans les politiques agricoles, forestières pourraient dépeindre sur l’avenir du développement durable. Il importe, donc, selon le Ministre ivoirien de l’Environnement, d’élaborer des politiques, plans, programmes et projets d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques, pour parvenir à une résilience renforcée. Pour le Ministre Anne OULOTO la mise en œuvre de ce projet, se fera en 4 phases. Premièrement, le projet consistera à faire un diagnostic du niveau d’intégration des changements climatiques, y compris de la contribution de la biodiversité et des services écosystémiques dans les politiques, et une évaluation des capacités des politiques à prendre en compte ces questions dans les activités quotidiennes de planification et de budgétisation. Deuxièmement, l’émissaire du gouvernement a fait savoir que la 2ème phase vise à élaborer un outil méthodologique pour une meilleure intégration des changements climatiques dans la planification et la budgétisation des politiques agricoles et forestières, tant au niveau national que local en renforçant la contribution des services écosystémiques et la biodiversité.
Suite aux deux premières phases, la troisième phase du projet concevra et poursuivra un programme de renforcement des capacités des acteurs de l’administration publique, ainsi que des collectivités territoriales. Ce renforcement de capacités va se faire par un appui technique visant à former les actions sur les outils et les méthodologies conçus dans le cadre du projet.
L’étape 4 va mettre un accent important sur le suivi et l’évaluation de ce projet avec des indicateurs pertinents, de sorte à garantir l’impact du projet sur l’activité de planification nationale, sectorielle et locale.
Au nom du Président de la République et de l’ensemble du Gouvernement, le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement, a tenu à saluer le Gouvernement Fédéral Belge pour son appui dans le financement et la mise en œuvre de ce projet en Côte d’Ivoire. Elle a, en outre, souhaité, dans le cadre de ce partenariat avec le Royaume de la Belgique, que les entités impliquées, puissent bénéficier d’un appui additionnel, pour « faire émerger des projets structurants, bancables, en vue du renforcement de la résilience de notre pays aux changements climatiques», à l’issue de ce projet pilote.
Pour sa part, le Premier Secrétaire de l’Ambassade du Royaume de la Belgique en Côte d’Ivoire, SEM. Dirk BREUER a situé le contexte de l’appui de son pays à la mise en œuvre du projet de promotion de l’intégration des changements climatiques dans la planification et la budgétisation des politiques nationales, sectorielles et locales en Côte d’Ivoire. Cet appui, selon M. BREUER, s’inscrit dans le cadre du soutien du Gouvernement Belge au pays en voie de développement, pour la mise en œuvre de leurs engagements en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, dans le cadre de l’Accord de Paris. Ainsi, sur les 47 projets venant de 21 pays différents, ce projet ivoirien fait partie des 4 meilleurs retenus. Ce projet, selon, le premier Secrétaire, « a été choisi sur sa qualité propre ». Il a annoncé alors que « dans le cadre de cette lutte contre les changements climatiques, la Côte d’Ivoire et la Belgique vont collaborer; ce qui va renforcer les relations entre les deux Etats ».
Profitant de cette tribune, le Ministre Anne OULOTO a relevé que ce projet, qui sera financé par le Gouvernement Belge, arrive dans un contexte où la Côte d’Ivoire est confrontée à des problématiques environnementales majeures ; les forêts ivoiriennes ayant subies de nombreuses pressions tant par l’action de l’homme que par les pratiques agricoles abusives, l’urbanisation, etc, mais surtout par les effets des changements climatiques. Aussi, a-t-elle souligné que la non intégration des changements climatiques, de la biodiversité, des écosystèmes dans les politiques agricoles, forestières pourraient dépeindre sur l’avenir du développement durable. Il importe, donc, selon le Ministre ivoirien de l’Environnement, d’élaborer des politiques, plans, programmes et projets d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques, pour parvenir à une résilience renforcée. Pour le Ministre Anne OULOTO la mise en œuvre de ce projet, se fera en 4 phases. Premièrement, le projet consistera à faire un diagnostic du niveau d’intégration des changements climatiques, y compris de la contribution de la biodiversité et des services écosystémiques dans les politiques, et une évaluation des capacités des politiques à prendre en compte ces questions dans les activités quotidiennes de planification et de budgétisation. Deuxièmement, l’émissaire du gouvernement a fait savoir que la 2ème phase vise à élaborer un outil méthodologique pour une meilleure intégration des changements climatiques dans la planification et la budgétisation des politiques agricoles et forestières, tant au niveau national que local en renforçant la contribution des services écosystémiques et la biodiversité.
Suite aux deux premières phases, la troisième phase du projet concevra et poursuivra un programme de renforcement des capacités des acteurs de l’administration publique, ainsi que des collectivités territoriales. Ce renforcement de capacités va se faire par un appui technique visant à former les actions sur les outils et les méthodologies conçus dans le cadre du projet.
L’étape 4 va mettre un accent important sur le suivi et l’évaluation de ce projet avec des indicateurs pertinents, de sorte à garantir l’impact du projet sur l’activité de planification nationale, sectorielle et locale.
Au nom du Président de la République et de l’ensemble du Gouvernement, le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement, a tenu à saluer le Gouvernement Fédéral Belge pour son appui dans le financement et la mise en œuvre de ce projet en Côte d’Ivoire. Elle a, en outre, souhaité, dans le cadre de ce partenariat avec le Royaume de la Belgique, que les entités impliquées, puissent bénéficier d’un appui additionnel, pour « faire émerger des projets structurants, bancables, en vue du renforcement de la résilience de notre pays aux changements climatiques», à l’issue de ce projet pilote.
Pour sa part, le Premier Secrétaire de l’Ambassade du Royaume de la Belgique en Côte d’Ivoire, SEM. Dirk BREUER a situé le contexte de l’appui de son pays à la mise en œuvre du projet de promotion de l’intégration des changements climatiques dans la planification et la budgétisation des politiques nationales, sectorielles et locales en Côte d’Ivoire. Cet appui, selon M. BREUER, s’inscrit dans le cadre du soutien du Gouvernement Belge au pays en voie de développement, pour la mise en œuvre de leurs engagements en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, dans le cadre de l’Accord de Paris. Ainsi, sur les 47 projets venant de 21 pays différents, ce projet ivoirien fait partie des 4 meilleurs retenus. Ce projet, selon, le premier Secrétaire, « a été choisi sur sa qualité propre ». Il a annoncé alors que « dans le cadre de cette lutte contre les changements climatiques, la Côte d’Ivoire et la Belgique vont collaborer; ce qui va renforcer les relations entre les deux Etats ».