San Pedro – Auteur au mois de décembre, du blocage momentané, survenu lors de l’examen du projet de budget 2018 de l’Etat par l’Assemblée nationale, le député de San Pedro commune, Anoblé Félix, a largement expliqué le sens du préalable qu’il a soulevé au cours de son traditionnel ‘’Petit déjeuner de presse du nouvel An’’, avec les journalistes de sa circonscription.
Depuis le mois de mai, déclare le député Anoblé Félix, membre de la Commission des Affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale (CAEF), il a expliqué aux députés de cette commission qu’il leur revenait de droit d’approuver le budget de cette institution, donc d’avoir les états de celui-ci, afin de l’examiner et inclure le montant qu’ils auront arrêté sur la ligne réservée dans le projet de budget 2018 de l’Etat, que le gouvernement allait déposer.
N’ayant pas été suivi sur la question à différentes occasions par les membres de la CAEF, précise le parlementaire, il a donc été obligé de soulever le préalable en plénière pour faire appliquer la loi. D’où le blocage d’une journée qui a retardé l’examen du budget 2018, finalement voté, après que la CAEF a adopté le budget de l’Assemblée nationale.
Selon Anoblé Félix, il s’agissait de faire respecter la loi, contre une pratique sans base légale qui laissait depuis l’indépendance le gouvernement décider du budget à allouer à l’Assemblée nationale. Le faire, a souligné l’Honorable, n’est pas s’opposer au gouvernement, ni vouloir s’attribuer des avantages et des salaires mirobolants, car précise-t-il, «faire respecter la loi est une pratique de bonne gouvernance, non uniquement pour le parlement mais pour l’ensemble de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
Dans des déclarations antérieures, Anoblé Félix a soutenu « avoir été compris et par le Chef de l’Etat, et par le président de l’Assemblée nationale », contrairement à ce que certains ont voulu faire croire.
jmk/fmo
Depuis le mois de mai, déclare le député Anoblé Félix, membre de la Commission des Affaires économiques et financières de l’Assemblée nationale (CAEF), il a expliqué aux députés de cette commission qu’il leur revenait de droit d’approuver le budget de cette institution, donc d’avoir les états de celui-ci, afin de l’examiner et inclure le montant qu’ils auront arrêté sur la ligne réservée dans le projet de budget 2018 de l’Etat, que le gouvernement allait déposer.
N’ayant pas été suivi sur la question à différentes occasions par les membres de la CAEF, précise le parlementaire, il a donc été obligé de soulever le préalable en plénière pour faire appliquer la loi. D’où le blocage d’une journée qui a retardé l’examen du budget 2018, finalement voté, après que la CAEF a adopté le budget de l’Assemblée nationale.
Selon Anoblé Félix, il s’agissait de faire respecter la loi, contre une pratique sans base légale qui laissait depuis l’indépendance le gouvernement décider du budget à allouer à l’Assemblée nationale. Le faire, a souligné l’Honorable, n’est pas s’opposer au gouvernement, ni vouloir s’attribuer des avantages et des salaires mirobolants, car précise-t-il, «faire respecter la loi est une pratique de bonne gouvernance, non uniquement pour le parlement mais pour l’ensemble de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
Dans des déclarations antérieures, Anoblé Félix a soutenu « avoir été compris et par le Chef de l’Etat, et par le président de l’Assemblée nationale », contrairement à ce que certains ont voulu faire croire.
jmk/fmo