Abidjan - La capitale économique ivoirienne va abriter de mardi à jeudi, la deuxième Conférence des Parties de la Convention de Bamako sur l'interdiction d'importer en Afrique des déchets dangereux et sur le contrôle des mouvements transfrontiers et la gestion des déchets dangereux produits en Afrique.
Selon une note du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, transmise à l’AIP, ses assises vont se tenir à l’Ivoire Golf Club pour examiner les dispositions mises en place dans la coopération et la coordination de la Convention, discuter du budget et du plan de travail pour la période 2017-2020 et valider les résultats des consultations entreprises.
Pour protéger le continent contre le déversement et le trafic, illicites de déchets dangereux, les pays africains ont adopté la Convention de Bamako conformément à l'article 11 de la Convention de Bâle qui encourage les parties à conclure des accords bilatéraux, multilatéraux et régionaux sur les déchets dangereux pour aider à atteindre les objectifs de la Convention.
La Convention de Bamako interdit l'importation en Afrique et l’immersion ou l’incinération de déchets dangereux dans l'océan et les eaux intérieures. Elle établit le principe de précaution, prévoit la gestion rationnelle de ces déchets au sein du continent. Elle a été adoptée le 21 janvier 1991 par la Conférence des Ministres de l’Environnement, à Bamako et est entrée en vigueur en 1998.
Elle compte à ce jour 29 signataires et 25 parties. Le Secrétariat de la Convention a été assuré de 1991 à 2013 par l’Union Africaine, explique-t-on.
gak/kam
Selon une note du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, transmise à l’AIP, ses assises vont se tenir à l’Ivoire Golf Club pour examiner les dispositions mises en place dans la coopération et la coordination de la Convention, discuter du budget et du plan de travail pour la période 2017-2020 et valider les résultats des consultations entreprises.
Pour protéger le continent contre le déversement et le trafic, illicites de déchets dangereux, les pays africains ont adopté la Convention de Bamako conformément à l'article 11 de la Convention de Bâle qui encourage les parties à conclure des accords bilatéraux, multilatéraux et régionaux sur les déchets dangereux pour aider à atteindre les objectifs de la Convention.
La Convention de Bamako interdit l'importation en Afrique et l’immersion ou l’incinération de déchets dangereux dans l'océan et les eaux intérieures. Elle établit le principe de précaution, prévoit la gestion rationnelle de ces déchets au sein du continent. Elle a été adoptée le 21 janvier 1991 par la Conférence des Ministres de l’Environnement, à Bamako et est entrée en vigueur en 1998.
Elle compte à ce jour 29 signataires et 25 parties. Le Secrétariat de la Convention a été assuré de 1991 à 2013 par l’Union Africaine, explique-t-on.
gak/kam