Pour l’exercice 2018, la Fondation des Parcs et Réserves de Côte d’Ivoire (FPRCI) octroie une subvention de 1 Milliard de FCFA à l’Office Ivoirien des Parcs et Réserves (OIPR) pour le financement des parcs nationaux de Taï, de la Comoé, d’Azagny et Mont Sangbé. Une signature de convention matérialisant ce don a eu lieu le lundi 22 février 2018 au cabinet et en présence de Madame le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) entre la FPRCI représentée par le PCA Bernard N’Doumi et l’OIPR par le DG Tondossama Adama.
Selon M. N’Doumi, la décision d’octroyer ladite subvention n’a été prise par le Conseil d’Administration de la FPRCI qu’à l’issue des conclusions positives de l’analyse minutieuse des plans d’opérations des parcs nationaux concernés présentés par l’OIPR. Et de rappeler que du 2è semestre 2014 à ce jour c’est un montant global de 2,37 milliards FCFA que la FPRCI a mobilisé pour l’OIPR. Somme qui sera portée à 3,37 milliards, le milliard accordé pour l’exercice 2018 y compris.
Se félicitant de cette précieuse subvention, le Ministre Ouloto a, au nom de l’Etat, engagé l’OIPR et la Fondation à poursuivre les efforts afin que la Côte d’Ivoire continue de bénéficier de la confiance de ses partenaires financiers et surtout de mobiliser davantage de moyens financiers pour assurer le financement des charges de gestion de l’ensemble du réseau des aires protégées. Son cri de cœur prend ainsi en compte la mise en œuvre du nouveau schéma de planification du Programme cadre de gestion des aires protégées (PCGAP), en cours de finalisation.
La signature de convention a été également l’occasion pour le Ministre en charge de l’Environnement de saluer la transparence et la rigueur avec lesquelles travaillent le DG de l’OIPR et ses collaborateurs. ‘’L’OIPR, c’est 5/5. Vous faites notre fierté dans le secteur de l’Environnement’’, a-t-elle témoigné avant de mettre un terme la sympathique cérémonie.
Pour mémoire, l’Etat de Côte d’Ivoire a entrepris par le truchement de la loi No2002-102 du 11 février 2002 une réforme juridique en vue d’assurer une meilleure gestion des parcs nationaux et réserves. Cette loi a favorisé la création de la Fondation pour les Parcs et Réserves de Côte d’Ivoire susceptible d’utiliser les instruments de type fiduciaire pour financer le système de gestion des parcs et réserves.
Source Sercom
Selon M. N’Doumi, la décision d’octroyer ladite subvention n’a été prise par le Conseil d’Administration de la FPRCI qu’à l’issue des conclusions positives de l’analyse minutieuse des plans d’opérations des parcs nationaux concernés présentés par l’OIPR. Et de rappeler que du 2è semestre 2014 à ce jour c’est un montant global de 2,37 milliards FCFA que la FPRCI a mobilisé pour l’OIPR. Somme qui sera portée à 3,37 milliards, le milliard accordé pour l’exercice 2018 y compris.
Se félicitant de cette précieuse subvention, le Ministre Ouloto a, au nom de l’Etat, engagé l’OIPR et la Fondation à poursuivre les efforts afin que la Côte d’Ivoire continue de bénéficier de la confiance de ses partenaires financiers et surtout de mobiliser davantage de moyens financiers pour assurer le financement des charges de gestion de l’ensemble du réseau des aires protégées. Son cri de cœur prend ainsi en compte la mise en œuvre du nouveau schéma de planification du Programme cadre de gestion des aires protégées (PCGAP), en cours de finalisation.
La signature de convention a été également l’occasion pour le Ministre en charge de l’Environnement de saluer la transparence et la rigueur avec lesquelles travaillent le DG de l’OIPR et ses collaborateurs. ‘’L’OIPR, c’est 5/5. Vous faites notre fierté dans le secteur de l’Environnement’’, a-t-elle témoigné avant de mettre un terme la sympathique cérémonie.
Pour mémoire, l’Etat de Côte d’Ivoire a entrepris par le truchement de la loi No2002-102 du 11 février 2002 une réforme juridique en vue d’assurer une meilleure gestion des parcs nationaux et réserves. Cette loi a favorisé la création de la Fondation pour les Parcs et Réserves de Côte d’Ivoire susceptible d’utiliser les instruments de type fiduciaire pour financer le système de gestion des parcs et réserves.
Source Sercom