Abidjan - La réconciliation a été à nouveau le maître-mot à l’ouverture mardi, à Abidjan, de la session ordinaire du parlement ivoirien, a constaté l’AIP sur place qui a tendu son micro à certains députés.
Selon le député de Bongouanou, Pascal Affi N’Guessan, il convient d’y aller maintenant au-delà des discours. « Tous les ivoiriens sont d’accord pour aller à la réconciliation. Comment on y va, quel acte concret on pose pour la réconciliation », s’est-il interrogé, estimant que « aujourd’hui, les discours sur la réconciliation n’ont aucun intérêt ».
« Il y a des actes qui prédisposent à la réconciliation, à savoir qu’aucun ivoirien n’ait son parent en prison à cause de la crise de 2011, ou son frère en exil forcé à cause de cette crise. Si on créée ces conditions, nous pouvons nous asseoir autour d’une table et puis parler à construire la Côte d’Ivoire nouvelle », a-t-il conclu.
Pour le député de Divo commune, Famoussa Coulibaly, les ivoiriens doivent amorcer le développement de la Côte d’Ivoire en dépassant certains clivage. « Nous devons dépasser une partie de notre histoire, ce qui nous a divisé et nous mettre ensemble pour véritablement amorcer le développement de la Côte d’Ivoire », a-t-il indiqué.
« La réconciliation est le maitre mot, mais personnellement cela fait sept ans que je m’implique individuellement et je pense que si collectivement toute l’assemblée nationale, tous les élus, tous les leaders le font, on finira par y arriver », a estimé, pour sa part, le député de Cocody, Yasmina Ouégnin.
Pour le député de Botro, Gnamien Konan, il importe de faire le point sur cette réconciliation tant souhaitée par les ivoiriens mais qui, selon lui, traîne. « Peut être qu’il faut qu’on marque le pas pour savoir que cette réconciliation que tout le monde souhaite en définitive ne marche pas. Surtout que nous savons que c’est un préalable au développement inclusif. Est-ce qu’il n’y a pas quelque chose qui nous échappe? », a-t-il interrogé.
gak/fmo
Selon le député de Bongouanou, Pascal Affi N’Guessan, il convient d’y aller maintenant au-delà des discours. « Tous les ivoiriens sont d’accord pour aller à la réconciliation. Comment on y va, quel acte concret on pose pour la réconciliation », s’est-il interrogé, estimant que « aujourd’hui, les discours sur la réconciliation n’ont aucun intérêt ».
« Il y a des actes qui prédisposent à la réconciliation, à savoir qu’aucun ivoirien n’ait son parent en prison à cause de la crise de 2011, ou son frère en exil forcé à cause de cette crise. Si on créée ces conditions, nous pouvons nous asseoir autour d’une table et puis parler à construire la Côte d’Ivoire nouvelle », a-t-il conclu.
Pour le député de Divo commune, Famoussa Coulibaly, les ivoiriens doivent amorcer le développement de la Côte d’Ivoire en dépassant certains clivage. « Nous devons dépasser une partie de notre histoire, ce qui nous a divisé et nous mettre ensemble pour véritablement amorcer le développement de la Côte d’Ivoire », a-t-il indiqué.
« La réconciliation est le maitre mot, mais personnellement cela fait sept ans que je m’implique individuellement et je pense que si collectivement toute l’assemblée nationale, tous les élus, tous les leaders le font, on finira par y arriver », a estimé, pour sa part, le député de Cocody, Yasmina Ouégnin.
Pour le député de Botro, Gnamien Konan, il importe de faire le point sur cette réconciliation tant souhaitée par les ivoiriens mais qui, selon lui, traîne. « Peut être qu’il faut qu’on marque le pas pour savoir que cette réconciliation que tout le monde souhaite en définitive ne marche pas. Surtout que nous savons que c’est un préalable au développement inclusif. Est-ce qu’il n’y a pas quelque chose qui nous échappe? », a-t-il interrogé.
gak/fmo