Abidjan – Le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, s’est positionné dans son discours, à l’occasion de l’ouverture solennelle de la session de cette institution, en défenseur acharné du pardon et de la réconciliation nationale en Côte d’Ivoire.
« Je vous affirme ma volonté inaccessible de continuer ce combat pour le pardon et la réconciliation qui conduira à la construction d’une véritable nation ivoirienne », a déclaré le président de la chambre basse de la l’Assemblée nationale, mardi, à l’hémicycle.
Pour le député de Ferkessédougou, son acharnement à œuvrer pour la paix et la cohésion nationale ne répond nullement à des visées politiques. « Ce chantier perpétuel » doit donner aux populations de « vouloir vivre collectif » en portant un même rêve et la même ambition, pour la mise en œuvre « d’une identité collective unifiée».
Selon Guillaume Soro, les ivoiriens doivent se pardonner et accepter de vivre ensemble pour participer à la compétition de plus en accrue entre les continents par l’intégration de toutes les communautés, au-delà des divergences multiples.
» Bâtir une nation dans des états blessés, fragilisés comme les autres, ne peut revêtir un sens que si nous sommes habités par le même rêve et porter par la même ambition », a-t-il déclaré, tout en rappelant que les nations présentes doivent toujours agir dans le sens de la préservation des intérêts des générations à venir.
Se référent à la création du parti unifié, le député Soro Guillaume, a préconisé « de laisser la place au dialogue, rien que le dialogue » en évitant les débats politiques qui tournent à la crispation, à l’effervescence et aux surenchères verbales.
Pour lui, le projet d’une nation ivoirienne pleine de fraternité est fondamental. « Je m’engage pour ma part à y consacrer tout mon énergie », a soutenu le président de la chambre basse du Parlement ivoirien.
Il a invité ces collègues à adhérer à cette perspective. « Je vous conjure chers collègues, œuvrons ensemble pour le pardon et la réconciliation par le dialogue », a-t-il dit.
Cette séance parlementaire de la chambre basse a vu la présence, entre autres, du président de la chambre basse des députés du Rwanda, Donatille Mukabalisa, du chef du gouvernement ivoirien, Gon Coulibaly et du président de la Conseil Constitutionnel, Koné Mamadou.
nmfa/fmo
« Je vous affirme ma volonté inaccessible de continuer ce combat pour le pardon et la réconciliation qui conduira à la construction d’une véritable nation ivoirienne », a déclaré le président de la chambre basse de la l’Assemblée nationale, mardi, à l’hémicycle.
Pour le député de Ferkessédougou, son acharnement à œuvrer pour la paix et la cohésion nationale ne répond nullement à des visées politiques. « Ce chantier perpétuel » doit donner aux populations de « vouloir vivre collectif » en portant un même rêve et la même ambition, pour la mise en œuvre « d’une identité collective unifiée».
Selon Guillaume Soro, les ivoiriens doivent se pardonner et accepter de vivre ensemble pour participer à la compétition de plus en accrue entre les continents par l’intégration de toutes les communautés, au-delà des divergences multiples.
» Bâtir une nation dans des états blessés, fragilisés comme les autres, ne peut revêtir un sens que si nous sommes habités par le même rêve et porter par la même ambition », a-t-il déclaré, tout en rappelant que les nations présentes doivent toujours agir dans le sens de la préservation des intérêts des générations à venir.
Se référent à la création du parti unifié, le député Soro Guillaume, a préconisé « de laisser la place au dialogue, rien que le dialogue » en évitant les débats politiques qui tournent à la crispation, à l’effervescence et aux surenchères verbales.
Pour lui, le projet d’une nation ivoirienne pleine de fraternité est fondamental. « Je m’engage pour ma part à y consacrer tout mon énergie », a soutenu le président de la chambre basse du Parlement ivoirien.
Il a invité ces collègues à adhérer à cette perspective. « Je vous conjure chers collègues, œuvrons ensemble pour le pardon et la réconciliation par le dialogue », a-t-il dit.
Cette séance parlementaire de la chambre basse a vu la présence, entre autres, du président de la chambre basse des députés du Rwanda, Donatille Mukabalisa, du chef du gouvernement ivoirien, Gon Coulibaly et du président de la Conseil Constitutionnel, Koné Mamadou.
nmfa/fmo