Abidjan - Un séminaire organisé par l’Initiative africaine concertée sur la réforme budgétaire (CABRI) ayant pour thème «S’approprier et diffuser la réforme budget-programme » se tient mardi et mercredi à Abidjan.
Ouvrant les travaux au nom du Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le directeur de cabinet Karim Traoré s’est réjoui de la tenue de ce séminaire portant sur les questions concernant l’appropriation et la diffusion des budgets-programmes qui sont essentiels à une réforme stratégique de grande envergure.
« Il s’agira de développer les thèmes relatifs à la mise en ouvre des budgets-programmes tels que la déconcentration de l’ordonnancement, la gestion du changement, l’adoption des pays au contexte local et d’examiner les préalables et les conditions fondamentales d’un budget-programmes fonctionnel », a-t-il relevé.
Cette rencontre réunie l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le CABRI qui partagent la même vision, à savoir l’amélioration de la qualité de la gestion des finances publiques dans une complémentarité basée sur la diversité des expertises qu’elles regorgent et mobilisent.
Pour M. Traoré, la Côte d’Ivoire à l’instar de nombreux autres pays africains, est engagée dans la marche irréversible vers les budgets-programmes conformément à la volonté de l’UEMOA de mettre en place un cadre harmonisé de gestion des finances publique alliant optimisation recouvrement des ressources et surtout efficacité voir efficience de la dépense.
A l’en croire, d’importants progrès ont été réalisés dans ce cadre, notamment l’élaboration du Document de programmation budgétaire économique pluriannuelle (DPBEP) et l’adaptation du cadre réglementaire national aux normes communautaires.
«Ces actions d’adaptations du cadre réglementaire et organisationnel ne sauraient être suffisantes pour atteindre l’objectif recherché qui est de mettre en place un système de gestion budgétaire permettant à chaque unité monétaire du budget d’apporter sa contribution marginale à la satisfaction des besoins qui justifient son inscription au budget de l’Etat », a expliqué Karim Traoré.
Il s’est dit confiant de l’expérience et de la qualité des participants en vue d’atteindre les objectifs recherchés pour une meilleure appropriation des concepts et contraintes qui gouvernent le basculement vers les budgets-programmes avant de les inviter à s’approprier les enseignements des travaux.
bsp/cmas
Ouvrant les travaux au nom du Secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le directeur de cabinet Karim Traoré s’est réjoui de la tenue de ce séminaire portant sur les questions concernant l’appropriation et la diffusion des budgets-programmes qui sont essentiels à une réforme stratégique de grande envergure.
« Il s’agira de développer les thèmes relatifs à la mise en ouvre des budgets-programmes tels que la déconcentration de l’ordonnancement, la gestion du changement, l’adoption des pays au contexte local et d’examiner les préalables et les conditions fondamentales d’un budget-programmes fonctionnel », a-t-il relevé.
Cette rencontre réunie l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le CABRI qui partagent la même vision, à savoir l’amélioration de la qualité de la gestion des finances publiques dans une complémentarité basée sur la diversité des expertises qu’elles regorgent et mobilisent.
Pour M. Traoré, la Côte d’Ivoire à l’instar de nombreux autres pays africains, est engagée dans la marche irréversible vers les budgets-programmes conformément à la volonté de l’UEMOA de mettre en place un cadre harmonisé de gestion des finances publique alliant optimisation recouvrement des ressources et surtout efficacité voir efficience de la dépense.
A l’en croire, d’importants progrès ont été réalisés dans ce cadre, notamment l’élaboration du Document de programmation budgétaire économique pluriannuelle (DPBEP) et l’adaptation du cadre réglementaire national aux normes communautaires.
«Ces actions d’adaptations du cadre réglementaire et organisationnel ne sauraient être suffisantes pour atteindre l’objectif recherché qui est de mettre en place un système de gestion budgétaire permettant à chaque unité monétaire du budget d’apporter sa contribution marginale à la satisfaction des besoins qui justifient son inscription au budget de l’Etat », a expliqué Karim Traoré.
Il s’est dit confiant de l’expérience et de la qualité des participants en vue d’atteindre les objectifs recherchés pour une meilleure appropriation des concepts et contraintes qui gouvernent le basculement vers les budgets-programmes avant de les inviter à s’approprier les enseignements des travaux.
bsp/cmas