Dans la perspective de l’opération « Grand Ménage », le Ministère de la Salubrité, de l’environnement et du développement durable (MINSEDD) a répondu à l’appel des jeunes volontaires de la commune de Grand Bassam qui ont initié le projet : « Ne pollue pas ma plage-Grand Bassam ».
La cérémonie officielle de lancement de ce projet s’est déroulée dans la matinée du samedi 07 avril 2018, sur la plage de Grand-Bassam, sous la présidence du MINSEDD, représentée par Mme Diaby Ramata, Directrice départementale de l’ANAGED (Agence nationale de gestion des déchets).
L’importance de cette activité a requis également la présence d’une délégation de Côte d’Ivoire Tourisme, de la Mairie de Grand Bassam, représentée par le Conseiller Traoré, des chefs coutumiers, et surtout une brasserie, Mercantile Edge, qui dans un élan de volontariat a décidé de soutenir cette action.
En effet, conçu par l’association Jah Live Art et Culture de Grand-Bassam, en partenariat avec son homologue française, Ecrin d’Arts basée à Nantes, le projet « Ne pollue pas ma plage-Grand Bassam », va consister au nettoyage et à l’assainissement quotidien des 15 KM du cordon littoral de Grand Bassam.
La décision du ministère de la Salubrité de soutenir et encadrer ce mouvement volontaire de jeunes de Grand-Bassam pour l’entretien de la plage, baptisé‘’ les guerriers de salubrité’’, à l’occasion de ce lancement officiel, vient crédibiliser cette action. Au nom de Mme la ministre Anne Désirée Oulotto, la Directrice départementale de l’ANAGED s’est d’abord réjouie de cette noble initiative, avant de féliciter et exprimer toute la gratitude de sa hiérarchie envers les initiateurs du projet « Ne Pollue pas plage ».
Selon la représentante du ministère de tutelle, à Grand Bassam, nous avons 15 KM de plage et si ce littoral est propre, c’est sûr que nous allons attirer beaucoup de touristes. «A Grand Bassam, nous n’avons pas de café et cacao, c’est le tourisme qui est notre matière première. Donc nettoyer et embellir ces plages-là, c’est attirer beaucoup plus de touristes à Grand Bassam, ce qui va permettre de renflouer les caisses de l’Etat ».
C’est l’objet pour lequel, a-t-elle poursuivi que Mme le ministre adresse ses sincères remerciements et encourage l’association à but non lucratif, Jah Live Arts et Culture, à pérenniser cette action pour le bien être de la population de Grand-Bassam.
Par ailleurs, au nom de Mme la ministre de la salubrité, Mme Diaby Ramata a fait un premier don symbolique de matériel de nettoyage, à savoir une dizaine de poubelles, des centaines de sacs à poubelle, des centaines de cache-nez, des dizaines de pics, gants, râteaux, pioches, pelles, seaux. Cependant, face au volume de travail relatif à l’assainissement de 15 KM de plage, la représentante de la ministre a promis d’autres séquences de dons de matériel de nettoyage et un suivi de cette action qui cadre avec l’esprit de l’opération, « Grand Ménage », initiée par le MINSEDD.
Quant à la présidente de l’association, Jah Live et Arts et Culture, elle a présenté le tableau contrasté de Grand-Bassam érigée Patrimoine mondial de l’UNESCO en 2012, ville historique par excellence, renfermant d’énormes richesses culturelles. L’une des cités balnéaires les plus visitées de la Côte d’Ivoire, qui se positionne comme une ville pleine de symboles et a besoin être entretenue avec rigueur et fierté.
Cependant, les 15 KM que compte le littoral de Grand-Bassam présentent une insalubrité galopante, de plus en plus préoccupante. Le constat est clair : les plages à Grand-Bassam sont de plus en plus délaissées par les touristes à cause de leur pollution.
« Cette initiative, « Ne Pollue pas ma plage » de portée communautaire et salutaire au profit de la ville de Grand-Bassam, ne pourra résister au temps, dans sa mise en œuvre qu’avec le soutien des collectivités locales et l’apport des pouvoirs publics ; mais surtout avec le concours des partenaires au développement », a déclaré Rose Ebirim, présidente de Jah Live et Arts et Culture.
A l’issue de cette cérémonie de lancement officiel du projet « Ne pollue pas ma plage », une Charte de la Salubrité conçue par l’association Jah Live Arts et Culture et son partenaire Ecrin d’Arts a été présentée aux officiels qui de manière symbolique ont installé le premier tableau à la plage. Les grandes lignes : C’est une plage pas une poubelle ; Ne laissez rien derrière vous (canettes, sachets, feuilles…), utilisez les poubelles à votre disposition ; Aidez-nous à garder la mer propre ; Ne déversez aucun liquide toxique dans la mer, etc…
JOB
La cérémonie officielle de lancement de ce projet s’est déroulée dans la matinée du samedi 07 avril 2018, sur la plage de Grand-Bassam, sous la présidence du MINSEDD, représentée par Mme Diaby Ramata, Directrice départementale de l’ANAGED (Agence nationale de gestion des déchets).
L’importance de cette activité a requis également la présence d’une délégation de Côte d’Ivoire Tourisme, de la Mairie de Grand Bassam, représentée par le Conseiller Traoré, des chefs coutumiers, et surtout une brasserie, Mercantile Edge, qui dans un élan de volontariat a décidé de soutenir cette action.
En effet, conçu par l’association Jah Live Art et Culture de Grand-Bassam, en partenariat avec son homologue française, Ecrin d’Arts basée à Nantes, le projet « Ne pollue pas ma plage-Grand Bassam », va consister au nettoyage et à l’assainissement quotidien des 15 KM du cordon littoral de Grand Bassam.
La décision du ministère de la Salubrité de soutenir et encadrer ce mouvement volontaire de jeunes de Grand-Bassam pour l’entretien de la plage, baptisé‘’ les guerriers de salubrité’’, à l’occasion de ce lancement officiel, vient crédibiliser cette action. Au nom de Mme la ministre Anne Désirée Oulotto, la Directrice départementale de l’ANAGED s’est d’abord réjouie de cette noble initiative, avant de féliciter et exprimer toute la gratitude de sa hiérarchie envers les initiateurs du projet « Ne Pollue pas plage ».
Selon la représentante du ministère de tutelle, à Grand Bassam, nous avons 15 KM de plage et si ce littoral est propre, c’est sûr que nous allons attirer beaucoup de touristes. «A Grand Bassam, nous n’avons pas de café et cacao, c’est le tourisme qui est notre matière première. Donc nettoyer et embellir ces plages-là, c’est attirer beaucoup plus de touristes à Grand Bassam, ce qui va permettre de renflouer les caisses de l’Etat ».
C’est l’objet pour lequel, a-t-elle poursuivi que Mme le ministre adresse ses sincères remerciements et encourage l’association à but non lucratif, Jah Live Arts et Culture, à pérenniser cette action pour le bien être de la population de Grand-Bassam.
Par ailleurs, au nom de Mme la ministre de la salubrité, Mme Diaby Ramata a fait un premier don symbolique de matériel de nettoyage, à savoir une dizaine de poubelles, des centaines de sacs à poubelle, des centaines de cache-nez, des dizaines de pics, gants, râteaux, pioches, pelles, seaux. Cependant, face au volume de travail relatif à l’assainissement de 15 KM de plage, la représentante de la ministre a promis d’autres séquences de dons de matériel de nettoyage et un suivi de cette action qui cadre avec l’esprit de l’opération, « Grand Ménage », initiée par le MINSEDD.
Quant à la présidente de l’association, Jah Live et Arts et Culture, elle a présenté le tableau contrasté de Grand-Bassam érigée Patrimoine mondial de l’UNESCO en 2012, ville historique par excellence, renfermant d’énormes richesses culturelles. L’une des cités balnéaires les plus visitées de la Côte d’Ivoire, qui se positionne comme une ville pleine de symboles et a besoin être entretenue avec rigueur et fierté.
Cependant, les 15 KM que compte le littoral de Grand-Bassam présentent une insalubrité galopante, de plus en plus préoccupante. Le constat est clair : les plages à Grand-Bassam sont de plus en plus délaissées par les touristes à cause de leur pollution.
« Cette initiative, « Ne Pollue pas ma plage » de portée communautaire et salutaire au profit de la ville de Grand-Bassam, ne pourra résister au temps, dans sa mise en œuvre qu’avec le soutien des collectivités locales et l’apport des pouvoirs publics ; mais surtout avec le concours des partenaires au développement », a déclaré Rose Ebirim, présidente de Jah Live et Arts et Culture.
A l’issue de cette cérémonie de lancement officiel du projet « Ne pollue pas ma plage », une Charte de la Salubrité conçue par l’association Jah Live Arts et Culture et son partenaire Ecrin d’Arts a été présentée aux officiels qui de manière symbolique ont installé le premier tableau à la plage. Les grandes lignes : C’est une plage pas une poubelle ; Ne laissez rien derrière vous (canettes, sachets, feuilles…), utilisez les poubelles à votre disposition ; Aidez-nous à garder la mer propre ; Ne déversez aucun liquide toxique dans la mer, etc…
JOB