Abidjan - Le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Moussa Sanogo, a invité la Chine à accroitre davantage, en Côte d’Ivoire, son niveau d’Investissements directs étrangers (IDE), qui sont plus créateurs d’emplois et permettent de réduire un tant soit peu la pauvreté.
Dans le cadre du colloque de la coopération sino-africaine qui se tient les 15 et 16 mai, à Abidjan, hôtel Ivoire, sur le thème : « Approfondir le financement et l’investissement dans la coopération Chine-Afrique », il s’est tenu ce mardi, un panel sur l’efficacité des accords de coopération sous régionale comme facteurs d’incitation à l’investissement.
«Ce qui nous aurait davantage intéresser, c’est d’avoir plus d’IDE qui supposent une implantation sur la durée. Les emprunts projets représentent 60% de l’appui de la Chine à la Côte d’Ivoire. Pour ce qui concerne les IDE, il y a encore beaucoup de marges », a indiqué le secrétaire d’Etat dans son plaidoyer dans un communiqué parvenu à l’AIP, mercredi.
Pour Moussa Sanogo, bien vrai qu’en termes d’IDE, comparée à certains pays africains, la Côte d’Ivoire a un niveau un peu plus faible, mais cela peut être trompeur.
Il a précisé que les pays africains qui affichent des résultats assez performants en termes d’IDE sont surtout des pays spécialisés dans la production pétrolière et minière.
Selon lui, la situation de la Côte d’Ivoire est plutôt appréciable, avec « un taux moyen de croissance d’investissement et d’aide de l’ordre de 20% ».
Le président de la Commission de l’UEMOA, le Nigérien Abdallah Boureima, a déploré la baisse des IDE dans la sous-région, passés de 50 milliards de dollars sur la période 2012-2014 à seulement 38 milliards en 2016, selon la CNUCED.
bsp/fmo
Dans le cadre du colloque de la coopération sino-africaine qui se tient les 15 et 16 mai, à Abidjan, hôtel Ivoire, sur le thème : « Approfondir le financement et l’investissement dans la coopération Chine-Afrique », il s’est tenu ce mardi, un panel sur l’efficacité des accords de coopération sous régionale comme facteurs d’incitation à l’investissement.
«Ce qui nous aurait davantage intéresser, c’est d’avoir plus d’IDE qui supposent une implantation sur la durée. Les emprunts projets représentent 60% de l’appui de la Chine à la Côte d’Ivoire. Pour ce qui concerne les IDE, il y a encore beaucoup de marges », a indiqué le secrétaire d’Etat dans son plaidoyer dans un communiqué parvenu à l’AIP, mercredi.
Pour Moussa Sanogo, bien vrai qu’en termes d’IDE, comparée à certains pays africains, la Côte d’Ivoire a un niveau un peu plus faible, mais cela peut être trompeur.
Il a précisé que les pays africains qui affichent des résultats assez performants en termes d’IDE sont surtout des pays spécialisés dans la production pétrolière et minière.
Selon lui, la situation de la Côte d’Ivoire est plutôt appréciable, avec « un taux moyen de croissance d’investissement et d’aide de l’ordre de 20% ».
Le président de la Commission de l’UEMOA, le Nigérien Abdallah Boureima, a déploré la baisse des IDE dans la sous-région, passés de 50 milliards de dollars sur la période 2012-2014 à seulement 38 milliards en 2016, selon la CNUCED.
bsp/fmo