Abidjan - Les nouveaux opérateurs devant opérer en Côte d’Ivoire dans l’optique de la modernisation de la chaîne de collecte, de transport et de gestion des déchets solides ménagers et assimilés, ont été présentés lundi, à Abidjan, aux collectivités locales, notamment les maires regroupés au sein de l’union des villes et communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI).
Il s’agit des entreprises ECOTI SA et ECO Eburnie, a indiqué la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto. Elle a expliqué que ces deux opérateurs ont été retenus suite à un appel d’offres, pour la gestion des trois lots que compte le district d’Abidjan.
Selon elle, ECOTI SA, un groupement d’opérateur tunisien et ivoirien, a en charge la gestion du premier lot, notamment Abobo, Anyama, Bingerville, Cocody et Plateau. Deux lots ont été concédés à ECO Eburnie. Il s’agit pour le deuxième mot, des communes d’Adjamé, Attécoubé, Songon et Yopougon. Pour le troisième lot, ce sont les communes de Treichville, Marcory, Koumassi et Port-Bouët.
Anne ouloto a expliqué que la tâche qui incombe à ses entreprises, se subdivise en deux groupes, d’abord la pré-collecte, la collecte et le transport des déchets vers leur destination finale, ensuite, le balayage et le curage des caniveaux. « Nous voulons régler la question de la cohérence pour obtenir une netteté et cela règle aussi la question de la double taxation », a-t-elle indiqué.
La ministre a indiqué que dans le cadre de la nouvelle politique de gestion des déchets solides ménagers et assimilés dans le district autonome d’Abidjan, des infrastructures dont des centres de transfert et centres de groupage de déchets solides sont en cours de construction et même en voie d’achèvement.
Elle a rappelé que le premier centre de valorisation et d’enfouissement technique (CET) d’ordures de Côte d’Ivoire, dont la construction a été lancée lundi, à Kossihouen, dans le district d’Abidjan, sera opérationnel dès juillet 2018. « Il est prévu la mise en place de comités de suivi pour suivre la propreté et l’exploitation du CET », a-t-elle assuré.
Le représentant du président de l’UVICOCI, le maire de la commune d’Attécobé, Danho Paulin, a salué les efforts déployés par la ministre de la Salubrité. « Les maires adhèrent au projet. Nous sommes aujourd’hui au cœur du dispositif », s’est-il félicité, non sans attirer l’attention des nouveaux opérateurs.
« Nous allons être exigeants », a-t-il prévenu.
(AIP)
gak/fmo
Il s’agit des entreprises ECOTI SA et ECO Eburnie, a indiqué la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto. Elle a expliqué que ces deux opérateurs ont été retenus suite à un appel d’offres, pour la gestion des trois lots que compte le district d’Abidjan.
Selon elle, ECOTI SA, un groupement d’opérateur tunisien et ivoirien, a en charge la gestion du premier lot, notamment Abobo, Anyama, Bingerville, Cocody et Plateau. Deux lots ont été concédés à ECO Eburnie. Il s’agit pour le deuxième mot, des communes d’Adjamé, Attécoubé, Songon et Yopougon. Pour le troisième lot, ce sont les communes de Treichville, Marcory, Koumassi et Port-Bouët.
Anne ouloto a expliqué que la tâche qui incombe à ses entreprises, se subdivise en deux groupes, d’abord la pré-collecte, la collecte et le transport des déchets vers leur destination finale, ensuite, le balayage et le curage des caniveaux. « Nous voulons régler la question de la cohérence pour obtenir une netteté et cela règle aussi la question de la double taxation », a-t-elle indiqué.
La ministre a indiqué que dans le cadre de la nouvelle politique de gestion des déchets solides ménagers et assimilés dans le district autonome d’Abidjan, des infrastructures dont des centres de transfert et centres de groupage de déchets solides sont en cours de construction et même en voie d’achèvement.
Elle a rappelé que le premier centre de valorisation et d’enfouissement technique (CET) d’ordures de Côte d’Ivoire, dont la construction a été lancée lundi, à Kossihouen, dans le district d’Abidjan, sera opérationnel dès juillet 2018. « Il est prévu la mise en place de comités de suivi pour suivre la propreté et l’exploitation du CET », a-t-elle assuré.
Le représentant du président de l’UVICOCI, le maire de la commune d’Attécobé, Danho Paulin, a salué les efforts déployés par la ministre de la Salubrité. « Les maires adhèrent au projet. Nous sommes aujourd’hui au cœur du dispositif », s’est-il félicité, non sans attirer l’attention des nouveaux opérateurs.
« Nous allons être exigeants », a-t-il prévenu.
(AIP)
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