Abidjan- A l’occasion de la commémoration de la Journée mondiale des Océans, samedi, des institutions comme la Banque africaine de développement (BAD), l’ambassade de l’Inde en Côte d’Ivoire, l’ONU Environnement, la Fondation Magic System et le ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, ont effectué une opération de nettoyage de la plage de Grand-Bassam.
Pour la ministre de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto, c’est grâce à une dynamique d’ensemble que l’on parviendra à bouter la pollution hors des villes africaines. « Ni le Gouvernement, ni la BAD, ni l’ONU, n’arriveront seuls à agir contre la pollution. C’est ensemble que nous sommes condamnés à gagner ce combat contre la pollution de l’environnement », a-t-elle indiqué.
Anne Ouloto a déploré l’existence dans le fond marin, de déchets plastiques compromettant la vie des animaux « qui de plus en plus se nourrissent de nos déchets plastiques qui finalement impact notre santé ». Elle a souhaité la pérennisation de cette activité de nettoyage, engageant la communauté à ne plus utiliser le plastique à usage unique.
La ministre a invité l’ensemble de ses concitoyens, notamment les industriels, à s’approprier le décret n° 2013-327 du 22 mai 2013 mettant fin à la fabrication locale, l’importation, la commercialisation et l’utilisation des emballages plastiques qui composent, à ce jour, 12% de l’ensemble des déchets collectés quotidiennement à Abidjan.
« Les sachets plastiques représentent une vraie menace pour la santé des populations, le cadre de vie et le tourisme en Côte d’Ivoire. Il est temps d’agir car la santé des populations, l’esthétique urbaine est mise en mal par ces sachets plastiques », a-t-elle prévenu.
Le représentant d’ONU Environnement, Abou Bamba, a estimé pour sa part que l’océan est une chance pour l’humanité et mérite beaucoup plus d’attention. Il a salué les efforts du Gouvernement ivoirien pour lutter contre sa pollution.
M. Bamba a expliqué que chaque année, le monde utilise 500 milliards de sacs en plastique majoritairement à usage unique ou jetable. « Au moins huit millions de tonnes de plastique finissent dans les océans, l’équivalent d’un camion à ordures complet à chaque minute, causant la mort d’un million d’oiseaux de mer et de 100 000 mammifères marins », a-t-il relevé.
gak/cmas
Pour la ministre de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto, c’est grâce à une dynamique d’ensemble que l’on parviendra à bouter la pollution hors des villes africaines. « Ni le Gouvernement, ni la BAD, ni l’ONU, n’arriveront seuls à agir contre la pollution. C’est ensemble que nous sommes condamnés à gagner ce combat contre la pollution de l’environnement », a-t-elle indiqué.
Anne Ouloto a déploré l’existence dans le fond marin, de déchets plastiques compromettant la vie des animaux « qui de plus en plus se nourrissent de nos déchets plastiques qui finalement impact notre santé ». Elle a souhaité la pérennisation de cette activité de nettoyage, engageant la communauté à ne plus utiliser le plastique à usage unique.
La ministre a invité l’ensemble de ses concitoyens, notamment les industriels, à s’approprier le décret n° 2013-327 du 22 mai 2013 mettant fin à la fabrication locale, l’importation, la commercialisation et l’utilisation des emballages plastiques qui composent, à ce jour, 12% de l’ensemble des déchets collectés quotidiennement à Abidjan.
« Les sachets plastiques représentent une vraie menace pour la santé des populations, le cadre de vie et le tourisme en Côte d’Ivoire. Il est temps d’agir car la santé des populations, l’esthétique urbaine est mise en mal par ces sachets plastiques », a-t-elle prévenu.
Le représentant d’ONU Environnement, Abou Bamba, a estimé pour sa part que l’océan est une chance pour l’humanité et mérite beaucoup plus d’attention. Il a salué les efforts du Gouvernement ivoirien pour lutter contre sa pollution.
M. Bamba a expliqué que chaque année, le monde utilise 500 milliards de sacs en plastique majoritairement à usage unique ou jetable. « Au moins huit millions de tonnes de plastique finissent dans les océans, l’équivalent d’un camion à ordures complet à chaque minute, causant la mort d’un million d’oiseaux de mer et de 100 000 mammifères marins », a-t-il relevé.
gak/cmas