Dans le cadre de la mise en œuvre du projet de « renforcement du système de gestion de l’information environnementale pour le développement de la zone côtière de Côte d’Ivoire en réponse aux objectifs des conventions de rio », le Ministère de la salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, avec l’appui du Programme des Nations Unies (PNUD), a organisé, le jeudi 21 juin 2018, à Grand-Bassam, un atelier d’information et de formation sur les actions relatives à la gestion de l’environnement côtier et le géo-portail du système de gestion de l’Information Environnementale (SGIE), à l’intention des membres du Secrétariat Technique du Comité Interministériel de lutte contre l’érosion côtière. Cette activité s’est tenue sous la présidence de Mme Anne Ouloto, Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) qui était représentée par son Conseiller Technique, Dr Omer Kamelan.
Selon l’émissaire du MINSEDD, si rien n’est fait pour une gestion intégrée de notre littoral, les risques côtiers pourraient augmenter dans les années et décennies à venir du fait de l’accroissement des enjeux sociaux et économiques d’une part et des effets du changement climatique d’autre part. C’est pourquoi, il a invité l’ensemble des participants à s’impliquer davantage dans les actions menées à travers une plus grande synergie et une franche collaboration. Car dira-t-il, « c’est à ce prix que la Côte d’Ivoire parviendra à des résultats positifs en matière de lutte contre l’érosion côtière [...] » Le conseiller technique du Ministre Anne Ouloto s’est donc félicité de l’initiative de cet atelier en exprimant la gratitude de l’Etat Ivoirien à tous les partenaires, entre autres, le FEM, le PNUD, la CEDEAO et l’UEMOA, pour leurs appuis techniques et financiers dans la recherche de solutions aux problèmes de l’environnement côtier. Pour sa part M.Ezoua, Chargé de programme pays et chef du département développement durable au sein du PNUD, a assuré de la disponibilité du système des Nations Unies en général et du PNUD en particulier, à poursuivre les initiatives qui participent non seulement du renforcement de la résilience des territoires côtiers mais aussi de la promotion de l’économie bleue. Bien avant ces deux interventions, M. Ouégnin Guy Daniel, 2ème adjoint représentant le Maire de la commune de Grand-Bassam, a au cours de son mot de bienvenue, suggéré que le renforcement des capacités s’étendent au-delà des membres du Secrétariat du comité interministériel ; mieux, il a plaidé que tous les acteurs intervenant depuis la prise de décision, les élus, les acteurs institutionnels, la société civile et tous les animateurs intervenants dans la lutte contre l’érosion côtière aient une bonne lisibilité et une parfaite compréhension et maitrise des outils institutionnels.
Faut-il le noter, en vue de mettre en œuvre de façon efficiente les différents accords internationaux et gérer de façon intégrée l’environnement côtier, la Côte d’Ivoire a pris d’importantes initiatives tant au niveau législatif, règlementaire qu’institutionnel. Pour preuve il existe la loi n°2017-378 du 02 juin 2018 relative à l’aménagement, à la protection et à la gestion intégrée du littoral. Cette loi prévoit entre autre la création d’une agence nationale de gestion intégrée du littoral (ANAGIL) et l’élaboration d’un plan d’aménagement et de gestion du littoral ivoirien (PLAGLI).
Selon l’émissaire du MINSEDD, si rien n’est fait pour une gestion intégrée de notre littoral, les risques côtiers pourraient augmenter dans les années et décennies à venir du fait de l’accroissement des enjeux sociaux et économiques d’une part et des effets du changement climatique d’autre part. C’est pourquoi, il a invité l’ensemble des participants à s’impliquer davantage dans les actions menées à travers une plus grande synergie et une franche collaboration. Car dira-t-il, « c’est à ce prix que la Côte d’Ivoire parviendra à des résultats positifs en matière de lutte contre l’érosion côtière [...] » Le conseiller technique du Ministre Anne Ouloto s’est donc félicité de l’initiative de cet atelier en exprimant la gratitude de l’Etat Ivoirien à tous les partenaires, entre autres, le FEM, le PNUD, la CEDEAO et l’UEMOA, pour leurs appuis techniques et financiers dans la recherche de solutions aux problèmes de l’environnement côtier. Pour sa part M.Ezoua, Chargé de programme pays et chef du département développement durable au sein du PNUD, a assuré de la disponibilité du système des Nations Unies en général et du PNUD en particulier, à poursuivre les initiatives qui participent non seulement du renforcement de la résilience des territoires côtiers mais aussi de la promotion de l’économie bleue. Bien avant ces deux interventions, M. Ouégnin Guy Daniel, 2ème adjoint représentant le Maire de la commune de Grand-Bassam, a au cours de son mot de bienvenue, suggéré que le renforcement des capacités s’étendent au-delà des membres du Secrétariat du comité interministériel ; mieux, il a plaidé que tous les acteurs intervenant depuis la prise de décision, les élus, les acteurs institutionnels, la société civile et tous les animateurs intervenants dans la lutte contre l’érosion côtière aient une bonne lisibilité et une parfaite compréhension et maitrise des outils institutionnels.
Faut-il le noter, en vue de mettre en œuvre de façon efficiente les différents accords internationaux et gérer de façon intégrée l’environnement côtier, la Côte d’Ivoire a pris d’importantes initiatives tant au niveau législatif, règlementaire qu’institutionnel. Pour preuve il existe la loi n°2017-378 du 02 juin 2018 relative à l’aménagement, à la protection et à la gestion intégrée du littoral. Cette loi prévoit entre autre la création d’une agence nationale de gestion intégrée du littoral (ANAGIL) et l’élaboration d’un plan d’aménagement et de gestion du littoral ivoirien (PLAGLI).