La Ministre Anne Désirée Ouloto a procédé le jeudi 21 juin 2018, à son Cabinet au Plateau, au lancement du projet ‘’amélioration de la résilience des populations, par un meilleur accès à l’information climatique’’. C’est un projet appelé à être implémenté sur toute l’étendue de la Côte d’Ivoire mais qui commence par une phase pilote à expérimenter dans 4 régions, à savoir l’Iffou, le Bélier, le Poro et la Bagoué, pour une durée de 18 mois.
D’un cout global de 323 500 000F CFA, ce projet est financé par le Fonds Spécial de Développement Climatique de la BAD à hauteur de 270 500 000 F CFA et par l’Etat ivoirien à hauteur de 53 000 000F CFA. Concrètement, l’initiative vise trois objectifs spécifiques majeurs : améliorer l’accès à l’information climatique, capitaliser l’information climatique pour la promotion de pratiques pilotes d’adaptation, utiliser l’information climatique pour une prise de décision éclairée et intégrée au niveau local.
En lançant le projet, la Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable a indiqué qu’il était impératif de disposer de l’information climatique de qualité et dans le temps. ‘’Sinon comment peut-on, dans un contexte de changement et de variabilité climatiques, faire un bon calage du calendrier cultural si nous ne disposons pas de la bonne période de semis ou de planting de la spéculation agricole pratiquée ? Comment peut-on mieux se préparer aux risques de feux de brousse, si nous n’arrivons pas à prévoir les poches de sécheresse ?’’, a-t-elle questionné. A l’en croire, ledit projet contribue à apporter des réponses à toutes ces questions. Aussi Anne Ouloto a-t-elle invité les populations et toutes les parties prenantes à s’approprier les activités déclinées et à faciliter la mise en œuvre dans les différentes localités et secteurs concernés. ‘’C’est cet engagement qui sera le gage de l’atteinte des objectifs assignés au projet’’, a-t-elle affirmé avant de rassurer la BAD que les ressources dégagées seront gérées dans la transparence. A la BAD comme à tous les partenaires financiers et techniques du Ministère de l’Environnement, elle a traduit la reconnaissance de l’Etat. En terminant son intervention, la Ministre a fondé l’espoir que, sous peu, les pays africains viennent s’imprégner de l’expérience de la Côte d’Ivoire, en la matière.
Justus Joseph Badyenda, Coordonnateur du Fonds Spécial de Développement Climatique de la BAD a indiqué que les phénomènes de changements climatiques deviendront de plus en plus fréquents, ce qui donne toute la pertinence à la mise en œuvre des activités du projet. ‘’La BAD reste mobilisée à vos côtés. Les résultats sont très attendus pour que l’expérience soit étendue à tout le pays’’, a-t-il souhaité.
D’un cout global de 323 500 000F CFA, ce projet est financé par le Fonds Spécial de Développement Climatique de la BAD à hauteur de 270 500 000 F CFA et par l’Etat ivoirien à hauteur de 53 000 000F CFA. Concrètement, l’initiative vise trois objectifs spécifiques majeurs : améliorer l’accès à l’information climatique, capitaliser l’information climatique pour la promotion de pratiques pilotes d’adaptation, utiliser l’information climatique pour une prise de décision éclairée et intégrée au niveau local.
En lançant le projet, la Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable a indiqué qu’il était impératif de disposer de l’information climatique de qualité et dans le temps. ‘’Sinon comment peut-on, dans un contexte de changement et de variabilité climatiques, faire un bon calage du calendrier cultural si nous ne disposons pas de la bonne période de semis ou de planting de la spéculation agricole pratiquée ? Comment peut-on mieux se préparer aux risques de feux de brousse, si nous n’arrivons pas à prévoir les poches de sécheresse ?’’, a-t-elle questionné. A l’en croire, ledit projet contribue à apporter des réponses à toutes ces questions. Aussi Anne Ouloto a-t-elle invité les populations et toutes les parties prenantes à s’approprier les activités déclinées et à faciliter la mise en œuvre dans les différentes localités et secteurs concernés. ‘’C’est cet engagement qui sera le gage de l’atteinte des objectifs assignés au projet’’, a-t-elle affirmé avant de rassurer la BAD que les ressources dégagées seront gérées dans la transparence. A la BAD comme à tous les partenaires financiers et techniques du Ministère de l’Environnement, elle a traduit la reconnaissance de l’Etat. En terminant son intervention, la Ministre a fondé l’espoir que, sous peu, les pays africains viennent s’imprégner de l’expérience de la Côte d’Ivoire, en la matière.
Justus Joseph Badyenda, Coordonnateur du Fonds Spécial de Développement Climatique de la BAD a indiqué que les phénomènes de changements climatiques deviendront de plus en plus fréquents, ce qui donne toute la pertinence à la mise en œuvre des activités du projet. ‘’La BAD reste mobilisée à vos côtés. Les résultats sont très attendus pour que l’expérience soit étendue à tout le pays’’, a-t-il souhaité.