Abidjan - Le ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développent durable (MINSEDD) a tenu à faire une mise au point, lundi à son cabinet à Abidjan, sur la construction en cours du centre de transfert (CT) de la zone d’Anguédédou (Est d’Abidjan), au regard de la « diffamation » portée sur les réseaux sociaux par l’artiste comédien Decothey.
« Le centre de transfert n’est pas une décharge, encore moins un Akouédo bis comme le laisse croire l’artiste Decothey qui accuse le Gouvernement de vouloir tuer les populations dans cette zone en y déplaçant la décharge d’ordures d’Akouédo », a déclaré le directeur de cabinet adjoint du MINSEDD, Nasséré Kaba.
Elle animait une conférence de presse avec le chef de cabinet, Taqui Djénéba, le directeur général de l’Agence nationale de l’environnement (ANDE) et de la directrice de communication du ministère, Dimi Sandrine.
Elle a expliqué que la construction de ce centre vise à permettre, au regard de la nouvelle politique de gestion des déchets, aux petits camions de ramassage de s’y diriger pour transvaser leur contenu dans des camions plus grands. Ceux-là se chargeront d’acheminer les déchets au centre d’enfouissement technique de Kossihouen dont le premier casier devrait être fonctionnel dans ce mois de juillet.
« En aucun cas, il ne va être question d’enfouissement de déchets à Anguédédou », a-t-elle insisté, ajoutant que ce projet ne sera pas un Akouédo bis et n’aura aucun impact négatif sur les populations.
Un peu plus tôt dans la matinée, dans un communiqué, la ministre Anne Ouloto a rappelé que dans le cadre de l’amélioration du système de gestion des déchets dans le district autonome d’Abidjan, l’Etat a entrepris la construction de six centres de groupages et d’un centre de transfert.
Cependant, contre toute attente, le 12 mai, une opposition de populations riveraines des cités ADO et Bel air a conduit à l’arrêt des travaux, en dépit de plusieurs recherches et études préliminaires menées par les services techniques de l’Etat sur ce site, pour éviter toutes nuisances.
« Au moment de conclure et de mettre en place le comité d’acceptation en vue de la reprise des travaux, les représentants des deux cités, à deux reprises, ont tout mis en œuvre pour éviter ces rencontres », précise le communiqué de presse.
La ministre Anne Ouloto a informé les populations des cités ADO et Bel Air ainsi que la communauté nationale, de la reprise prochaine des travaux de construction du Centre de transfert d’Anguédedou, invitant les populations riveraines à faire confiance au Gouvernement.
gak/cmas
« Le centre de transfert n’est pas une décharge, encore moins un Akouédo bis comme le laisse croire l’artiste Decothey qui accuse le Gouvernement de vouloir tuer les populations dans cette zone en y déplaçant la décharge d’ordures d’Akouédo », a déclaré le directeur de cabinet adjoint du MINSEDD, Nasséré Kaba.
Elle animait une conférence de presse avec le chef de cabinet, Taqui Djénéba, le directeur général de l’Agence nationale de l’environnement (ANDE) et de la directrice de communication du ministère, Dimi Sandrine.
Elle a expliqué que la construction de ce centre vise à permettre, au regard de la nouvelle politique de gestion des déchets, aux petits camions de ramassage de s’y diriger pour transvaser leur contenu dans des camions plus grands. Ceux-là se chargeront d’acheminer les déchets au centre d’enfouissement technique de Kossihouen dont le premier casier devrait être fonctionnel dans ce mois de juillet.
« En aucun cas, il ne va être question d’enfouissement de déchets à Anguédédou », a-t-elle insisté, ajoutant que ce projet ne sera pas un Akouédo bis et n’aura aucun impact négatif sur les populations.
Un peu plus tôt dans la matinée, dans un communiqué, la ministre Anne Ouloto a rappelé que dans le cadre de l’amélioration du système de gestion des déchets dans le district autonome d’Abidjan, l’Etat a entrepris la construction de six centres de groupages et d’un centre de transfert.
Cependant, contre toute attente, le 12 mai, une opposition de populations riveraines des cités ADO et Bel air a conduit à l’arrêt des travaux, en dépit de plusieurs recherches et études préliminaires menées par les services techniques de l’Etat sur ce site, pour éviter toutes nuisances.
« Au moment de conclure et de mettre en place le comité d’acceptation en vue de la reprise des travaux, les représentants des deux cités, à deux reprises, ont tout mis en œuvre pour éviter ces rencontres », précise le communiqué de presse.
La ministre Anne Ouloto a informé les populations des cités ADO et Bel Air ainsi que la communauté nationale, de la reprise prochaine des travaux de construction du Centre de transfert d’Anguédedou, invitant les populations riveraines à faire confiance au Gouvernement.
gak/cmas