Abidjan, 10 juil (AIP) - Un séminaire bilan national sur l’organisation et la mise en œuvre de l’opération « Grand ménage » des villes et communes de Côte d’Ivoire, s’est ouvert, lundi, à Abidjan, à l’effet de renforcer la stratégie de mise en œuvre et susciter une plus grande mobilisation et appropriation de cette opération, par les parties prenantes.
Lors d’une conférence inaugurale, la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Ouloto a indiqué qu’après une année de mise en œuvre de cette initiative, son département a organisé des consultations publiques régionales et mené une enquête de satisfaction, fait le bilan de l’année écoulée, en recueillant d’une part, les opinions des populations sur le concept et leur perception de l’organisation et la mise en œuvre de l’opération, et d’autre part, en mesurer l’impact sur leur comportement et la propreté du cadre de vie.
Pour elle, il convient d’avoir une démarche plus dynamique et plus cohérente, estimant que « l’enjeu est de taille, l’ambition du gouvernement étant d’offrir à notre nation, un pays propre, beau et sain ». Poursuivant, elle a indiqué que malgré les efforts du gouvernement, la problématique de la malpropreté et de la dégradation de la qualité du cadre de vie demeure, principalement due à l’incivisme des populations.
La ministre a relevé que, bien qu’en grande partie responsable de l’insalubrité grandissante de nos villes et communes, la population a pris l’habitude de se soustraire systématiquement de toutes activités communautaires de nettoiement et d’entretien de son environnement. « Le grand ménage concerne tous les citoyens, l’esprit c’est d’induire par une démarche, une participation et une implication de tous », a-t-elle indiqué.
Le gouvernement a décidé de l’institution d’une opération dénommée « Grand Ménage », le premier samedi de chaque mois, avec pour objectif de susciter la participation des populations à des activités communautaires en vue de les emmener progressivement à participer à l’entretien et à la propreté de leur cadre de vie. La première édition de cette activité a eu lieu le 04 mars 2017, rappelle-t-on.
(AIP)
gak/fmo
Lors d’une conférence inaugurale, la ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Ouloto a indiqué qu’après une année de mise en œuvre de cette initiative, son département a organisé des consultations publiques régionales et mené une enquête de satisfaction, fait le bilan de l’année écoulée, en recueillant d’une part, les opinions des populations sur le concept et leur perception de l’organisation et la mise en œuvre de l’opération, et d’autre part, en mesurer l’impact sur leur comportement et la propreté du cadre de vie.
Pour elle, il convient d’avoir une démarche plus dynamique et plus cohérente, estimant que « l’enjeu est de taille, l’ambition du gouvernement étant d’offrir à notre nation, un pays propre, beau et sain ». Poursuivant, elle a indiqué que malgré les efforts du gouvernement, la problématique de la malpropreté et de la dégradation de la qualité du cadre de vie demeure, principalement due à l’incivisme des populations.
La ministre a relevé que, bien qu’en grande partie responsable de l’insalubrité grandissante de nos villes et communes, la population a pris l’habitude de se soustraire systématiquement de toutes activités communautaires de nettoiement et d’entretien de son environnement. « Le grand ménage concerne tous les citoyens, l’esprit c’est d’induire par une démarche, une participation et une implication de tous », a-t-elle indiqué.
Le gouvernement a décidé de l’institution d’une opération dénommée « Grand Ménage », le premier samedi de chaque mois, avec pour objectif de susciter la participation des populations à des activités communautaires en vue de les emmener progressivement à participer à l’entretien et à la propreté de leur cadre de vie. La première édition de cette activité a eu lieu le 04 mars 2017, rappelle-t-on.
(AIP)
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