Le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro a exprimé vendredi sa « crainte» pour la santé de Souleymane Kamaraté Koné dit Soul To Soul, son chef de protocole écroué depuis octobre dernier à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) dans l'affaire dite « découverte d'une cache d'armes dans une résidence à Bouaké».
M. Soro a exprimé cette inquiétude après une vague de suspicion exprimée par certains internautes ivoiriens sur l'origine de la maladie de Nicaise Douyou alias Samba David, un détenu pro-Gbagbo mis en liberté provisoire pour « raisons médicales » dans la nuit de mardi à mercredi par les autorités judiciaires ivoiriennes après près de trois ans de détention.
« Je viens de lire avec stupéfaction cette horrible histoire de l'empoisonnement de M. Samba David dans la prison de Korhogo. Si cela s'avérait vrai, alors, il faut craindre pour la santé de Soul To Soul», a écrit M. Soro sur son compte officiel facebook estimant que « dans un État de droit, le ministre de la justice devrait être entendu au parlement ».
S'exprimant dimanche dernier sur les antennes de Radio France internationale (RFI) relativement à la détention de son collaborateur, M. Soro a déclaré que « l'affaire Soul To Soul relève en partie du secret d'État ». Il avait également fait le plaidoyer pour la libération de «tous les prisonniers politiques» dans le pays.
LB/ls/APA
M. Soro a exprimé cette inquiétude après une vague de suspicion exprimée par certains internautes ivoiriens sur l'origine de la maladie de Nicaise Douyou alias Samba David, un détenu pro-Gbagbo mis en liberté provisoire pour « raisons médicales » dans la nuit de mardi à mercredi par les autorités judiciaires ivoiriennes après près de trois ans de détention.
« Je viens de lire avec stupéfaction cette horrible histoire de l'empoisonnement de M. Samba David dans la prison de Korhogo. Si cela s'avérait vrai, alors, il faut craindre pour la santé de Soul To Soul», a écrit M. Soro sur son compte officiel facebook estimant que « dans un État de droit, le ministre de la justice devrait être entendu au parlement ».
S'exprimant dimanche dernier sur les antennes de Radio France internationale (RFI) relativement à la détention de son collaborateur, M. Soro a déclaré que « l'affaire Soul To Soul relève en partie du secret d'État ». Il avait également fait le plaidoyer pour la libération de «tous les prisonniers politiques» dans le pays.
LB/ls/APA