Abidjan, - Deux nouveaux opérateurs ont été choisis suite à un appel d’offres international, pour une gestion écologiquement rationnelle des déchets, notamment la société ECOTI SA et la société ECO EBURNIE, a rappelé jeudi, à Abidjan, la ministre de l’Assainissement et de la Salubrité, Anne Ouloto, lors d’une conférence de presse portant sur le projet « Pays propre ».
Elle a fait savoir que la société ECOTI SA qui est un groupement d’opérateurs tunisiens et ivoiriens, assurera le service de propreté des communes d’Abobo, d’Anyama, de Bingerville, de Cocody et du Plateau.
La société ECO EBURNIE, filiale nationale de l’entreprise portugaise MOTA ENGIL, elle, sera chargée de la propreté des communes d’Adjamé, Attécoubé, Yopougon, Songon, Koumassi, Marcory, Port-Bouët et Treichville.
Anne Ouloto a expliqué que ces deux opérateurs se chargeront de faire entre autre, une pré-collecte avec une amélioration du conditionnement des déchets et le développement du tri sélectif depuis les ménages et aux postes de groupage, préférentiellement dans les quartiers périphériques et difficilement accessibles.
La collecte depuis les ménages, les points de collecte, les postes de groupage et le transport de ces déchets aux centres de transfert pour leur transvasement dans des conteneurs de capacités comprises entre 30 à 70 m3.
« Pour ce faire, nous avons déjà réceptionné en avril, dans l’enceinte du Port Autonome d’Abidjan, 155 camions flambant neufs de ramassage ainsi que 450 coffres modernes. A ce jour, nous sommes à 350 camions et 650 coffres flambants neufs », a-t-elle indiqué.
Elle a expliqué, en outre, que ces opérateurs auront à charge, le transport des déchets depuis les centres de transfert jusqu’au Centre de Valorisation et d’Enfouissement Technique (CVET) de Kossihouen avec des gros porteurs pour notamment, réduire le coût du transport et minimiser le flux des véhicules du secteur déchet dans la circulation.
« Pour le traitement des déchets, l’option a été prise en faveur de l’économie circulaire : le tri et la valorisation seront développés et l’élimination ne sera réservée qu’aux ultimes. La valorisation permettra de produire de l’énergie à partir du biogaz, des biofertilisants et des matériaux recyclés », a assuré Anne Ouloto.
(AIP)
gak/fmo
Elle a fait savoir que la société ECOTI SA qui est un groupement d’opérateurs tunisiens et ivoiriens, assurera le service de propreté des communes d’Abobo, d’Anyama, de Bingerville, de Cocody et du Plateau.
La société ECO EBURNIE, filiale nationale de l’entreprise portugaise MOTA ENGIL, elle, sera chargée de la propreté des communes d’Adjamé, Attécoubé, Yopougon, Songon, Koumassi, Marcory, Port-Bouët et Treichville.
Anne Ouloto a expliqué que ces deux opérateurs se chargeront de faire entre autre, une pré-collecte avec une amélioration du conditionnement des déchets et le développement du tri sélectif depuis les ménages et aux postes de groupage, préférentiellement dans les quartiers périphériques et difficilement accessibles.
La collecte depuis les ménages, les points de collecte, les postes de groupage et le transport de ces déchets aux centres de transfert pour leur transvasement dans des conteneurs de capacités comprises entre 30 à 70 m3.
« Pour ce faire, nous avons déjà réceptionné en avril, dans l’enceinte du Port Autonome d’Abidjan, 155 camions flambant neufs de ramassage ainsi que 450 coffres modernes. A ce jour, nous sommes à 350 camions et 650 coffres flambants neufs », a-t-elle indiqué.
Elle a expliqué, en outre, que ces opérateurs auront à charge, le transport des déchets depuis les centres de transfert jusqu’au Centre de Valorisation et d’Enfouissement Technique (CVET) de Kossihouen avec des gros porteurs pour notamment, réduire le coût du transport et minimiser le flux des véhicules du secteur déchet dans la circulation.
« Pour le traitement des déchets, l’option a été prise en faveur de l’économie circulaire : le tri et la valorisation seront développés et l’élimination ne sera réservée qu’aux ultimes. La valorisation permettra de produire de l’énergie à partir du biogaz, des biofertilisants et des matériaux recyclés », a assuré Anne Ouloto.
(AIP)
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