Le ministre ivoirien de l’environnement et du développement durable, Pr Joseph Séka Séka, a procédé au lancement d’un projet de gestion des déchets d’équipements électriques, électroniques (DEEE ou 3DE) et des pneus usagés le mardi 27 novembre dans la capitale économique ivoirienne Abidjan.
Exécuté en partenariat avec la Société générale de surveillance (SGS) et la Société africaine de recyclage (SAR) ce projet verra le jour à travers trois modules. Ainsi, le premier module consistera à enregistrer les produits importés en Côte d’Ivoire et s’assurer que lorsqu’ils sont déclarés comme étant des produits de seconde main, ils ne sont pas en réalité des déchets pneumatiques interdits d’exportation.
En ce qui concerne le second module, il s’agira de collecter pour le compte de l’État ivoirien, l’écotaxe sur les produits concernés importés en Côte d’Ivoire neufs et de seconde main en vertu du Principe Pollueur-payeur et du Principe de la responsabilité étendue du producteur (REP).
Pour ce qui est du dernier module, il consistera en la mise en place d’un système de gestion des déchets fiables et professionnels comprenant l’installation de centres de collecte dans des endroits clés du pays ainsi que le traitement et le recyclage industriels des objets collectés. Ce module sera mis en œuvre par la SAR pour lequel une convention sera signée avant la fin de cette année.
En croire le Coordonnateur du Programme national de gestion des déchets, Jacques Kouassi Koffi, ce projet va générer plus de 5000 emplois verts pour un coût global d’un peu plus de 60 milliards FCFA.
Pour rappel, le Gouvernement ivoirien a décidé de donner une réponse adéquate à la question des déchets d’équipements électriques et électroniques (D3E) à travers l’adoption en Conseil des ministres le 5 avril 2017 d’un texte sur la gestion écologique des D3E.
CK
Exécuté en partenariat avec la Société générale de surveillance (SGS) et la Société africaine de recyclage (SAR) ce projet verra le jour à travers trois modules. Ainsi, le premier module consistera à enregistrer les produits importés en Côte d’Ivoire et s’assurer que lorsqu’ils sont déclarés comme étant des produits de seconde main, ils ne sont pas en réalité des déchets pneumatiques interdits d’exportation.
En ce qui concerne le second module, il s’agira de collecter pour le compte de l’État ivoirien, l’écotaxe sur les produits concernés importés en Côte d’Ivoire neufs et de seconde main en vertu du Principe Pollueur-payeur et du Principe de la responsabilité étendue du producteur (REP).
Pour ce qui est du dernier module, il consistera en la mise en place d’un système de gestion des déchets fiables et professionnels comprenant l’installation de centres de collecte dans des endroits clés du pays ainsi que le traitement et le recyclage industriels des objets collectés. Ce module sera mis en œuvre par la SAR pour lequel une convention sera signée avant la fin de cette année.
En croire le Coordonnateur du Programme national de gestion des déchets, Jacques Kouassi Koffi, ce projet va générer plus de 5000 emplois verts pour un coût global d’un peu plus de 60 milliards FCFA.
Pour rappel, le Gouvernement ivoirien a décidé de donner une réponse adéquate à la question des déchets d’équipements électriques et électroniques (D3E) à travers l’adoption en Conseil des ministres le 5 avril 2017 d’un texte sur la gestion écologique des D3E.
CK