Vavoua- Les professeurs et éducateurs des collèges privés de Vavoua observent un arrêt de travail depuis jeudi matin, rejoignant ainsi ceux du Lycée moderne.
Interrogés sur le motif de cet arrêt de travail, unanimement, les enseignants disent qu'il s'agit d'un acte de solidarité. En effet, un des leurs, Gbané Abdoulaye, professeur d'éducation physique et sportive au collège privé Le Label a été grièvement blessé à la nuque par une pierre lancée par un élève venu du collège privé Gontran Damas de Vavoua, en décembre.
Comme ceux du Lycée moderne de Vavoua, les personnels des collèges privés disent se sentir en insécurité. Selon eux, leurs élèves sont en train de devenir leurs bourreaux. Réclamant plus garantie pour leur sécurité, ils ont souligné qu'ils ne sont pas en grève mais qu'ils veulent attirer l'attention des acteurs de l'éducation nationale "sur cette nouvelle forme de violence qui se développement dans les lycées et collèges et qui reste impunie."
Lors de la cérémonie de présentation des vœux du Nouvel an, le préfet du département de Vavoua, Légré Koukougnon, a demandé aux enseignants de reprendre les cours. Pour lui, cette grève est illégale parce que les enseignants n'avaient pas déposé de préavis. Reconnaissant que des élèves agissent mal en anticipant les congés scolaires, le préfet a demandé aux personnels en grève de savoir raison garder. Il en a profité pour exhorter les parents d'élèves à ne pas démissionner.
Les enseignants qui observent un arrêt de travail à Vavoua demandent que les présumés coupables d'agression d'un professeur et d'un élève soient excluent des effectifs des établissements scolaires de la ville, et que celui qui a blessé un professeur du lycée soit identifié et puni.
Voulant anticiper les congés de Noël, des élèves semant le désordre dans les lycées et collèges de Vavoua ont blessé deux professeurs par jets de pierres, rappelle-t-on.
sk/cmas
Interrogés sur le motif de cet arrêt de travail, unanimement, les enseignants disent qu'il s'agit d'un acte de solidarité. En effet, un des leurs, Gbané Abdoulaye, professeur d'éducation physique et sportive au collège privé Le Label a été grièvement blessé à la nuque par une pierre lancée par un élève venu du collège privé Gontran Damas de Vavoua, en décembre.
Comme ceux du Lycée moderne de Vavoua, les personnels des collèges privés disent se sentir en insécurité. Selon eux, leurs élèves sont en train de devenir leurs bourreaux. Réclamant plus garantie pour leur sécurité, ils ont souligné qu'ils ne sont pas en grève mais qu'ils veulent attirer l'attention des acteurs de l'éducation nationale "sur cette nouvelle forme de violence qui se développement dans les lycées et collèges et qui reste impunie."
Lors de la cérémonie de présentation des vœux du Nouvel an, le préfet du département de Vavoua, Légré Koukougnon, a demandé aux enseignants de reprendre les cours. Pour lui, cette grève est illégale parce que les enseignants n'avaient pas déposé de préavis. Reconnaissant que des élèves agissent mal en anticipant les congés scolaires, le préfet a demandé aux personnels en grève de savoir raison garder. Il en a profité pour exhorter les parents d'élèves à ne pas démissionner.
Les enseignants qui observent un arrêt de travail à Vavoua demandent que les présumés coupables d'agression d'un professeur et d'un élève soient excluent des effectifs des établissements scolaires de la ville, et que celui qui a blessé un professeur du lycée soit identifié et puni.
Voulant anticiper les congés de Noël, des élèves semant le désordre dans les lycées et collèges de Vavoua ont blessé deux professeurs par jets de pierres, rappelle-t-on.
sk/cmas