Abidjan- Le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, a apporté son soutien au député PDCI et maire élu du Plateau, Jacques Ehouo, en se rendant dimanche à son domicile.
Ce dernier a été inculpé jeudi par la justice ivoirienne pour détournement de fonds. Dans la foulée, le parquet a demandé au bureau de l’Assemblée nationale d’autoriser son arrestation tandis que ce même jour, ce bureau a réclamé une suspension des poursuites.
« Lorsqu’un député est en difficulté, il y a la nécessité de la solidarité pour l’institution elle-même. C’est une visite de fraternité et de solidarité, pour mieux m’informer de la situation », a déclaré Guillaume Soro.
Face à la presse, entouré d’autres députés dont Maurice Kakou Guikahué, Guillaume Soro a expliqué avoir été saisi par le procureur dans cette affaire a qualité de président de l’Assemblée. « Il n’est pas question de nous dérober ni à la justice ni à nos responsabilités », a-t-il précisé.
Pour Guillaume Soro, le dossier Jacques Ehouo devra donc être étudié par les députés qui se réuniront pour aboutir à une position commune. « Cela n’arrive pas qu’aux autres », a déclaré le président de l’Assemblée nationale, dont l’un des proches, le député Alain Lobognon, est aussi dans le viseur du parquet.
Depuis le début de cette affaire, le PDCI ne cesse de dénoncer un complot politique visant à empêcher Jacques Ehouo, vainqueur des élections municipales de la commune du Plateau le 13 octobre dernier, d’installer son conseil municipal.
tls/cmas
Ce dernier a été inculpé jeudi par la justice ivoirienne pour détournement de fonds. Dans la foulée, le parquet a demandé au bureau de l’Assemblée nationale d’autoriser son arrestation tandis que ce même jour, ce bureau a réclamé une suspension des poursuites.
« Lorsqu’un député est en difficulté, il y a la nécessité de la solidarité pour l’institution elle-même. C’est une visite de fraternité et de solidarité, pour mieux m’informer de la situation », a déclaré Guillaume Soro.
Face à la presse, entouré d’autres députés dont Maurice Kakou Guikahué, Guillaume Soro a expliqué avoir été saisi par le procureur dans cette affaire a qualité de président de l’Assemblée. « Il n’est pas question de nous dérober ni à la justice ni à nos responsabilités », a-t-il précisé.
Pour Guillaume Soro, le dossier Jacques Ehouo devra donc être étudié par les députés qui se réuniront pour aboutir à une position commune. « Cela n’arrive pas qu’aux autres », a déclaré le président de l’Assemblée nationale, dont l’un des proches, le député Alain Lobognon, est aussi dans le viseur du parquet.
Depuis le début de cette affaire, le PDCI ne cesse de dénoncer un complot politique visant à empêcher Jacques Ehouo, vainqueur des élections municipales de la commune du Plateau le 13 octobre dernier, d’installer son conseil municipal.
tls/cmas