Korhogo, La Direction régionale de l’Education nationale de Korhogo a annoncé qu’elle préparait l’organisation d’un atelier destiné à recadrer les Comités de gestion des établissements scolaire (Coges) de sa circonscription sans donner de date.
« Au cours de cet atelier, il sera question de rappeler les missions dévolus au Coges », a déclaré vendredi le secrétaire général de Dren, Thiam Tidjan, au cours de cérémonie de remise de tables-bancs à un groupe scolaire de la ville.
Le maire de Korhogo qui présidait la cérémonie, Lazani Coulibaly, s’est félicité de cette annonce, estimant que l’atelier allait pouvoir « clarifier les choses » entre les Coges et les parents d’élèves.
« Les parents s’en plaignent », a-t-il dit, parlant des Coges, qui, selon lui, ont pris l’habitude de lever des cotisations sans que lui-même, premier responsable des Coges de la commune, en soit informé, a-t-il dénoncé.
Institués pour servir de cadre de la participation des communautés locales à la gestion des établissements scolaires, les Coges sont de plus en plus décriés. A Korhogo comme partout ailleurs dans le pays, il leur est reproché de lever trop de cotisations sans pouvoir convaincre sur l’usage des fonds ainsi collectés.
(AIP)
kaem/fmo
« Au cours de cet atelier, il sera question de rappeler les missions dévolus au Coges », a déclaré vendredi le secrétaire général de Dren, Thiam Tidjan, au cours de cérémonie de remise de tables-bancs à un groupe scolaire de la ville.
Le maire de Korhogo qui présidait la cérémonie, Lazani Coulibaly, s’est félicité de cette annonce, estimant que l’atelier allait pouvoir « clarifier les choses » entre les Coges et les parents d’élèves.
« Les parents s’en plaignent », a-t-il dit, parlant des Coges, qui, selon lui, ont pris l’habitude de lever des cotisations sans que lui-même, premier responsable des Coges de la commune, en soit informé, a-t-il dénoncé.
Institués pour servir de cadre de la participation des communautés locales à la gestion des établissements scolaires, les Coges sont de plus en plus décriés. A Korhogo comme partout ailleurs dans le pays, il leur est reproché de lever trop de cotisations sans pouvoir convaincre sur l’usage des fonds ainsi collectés.
(AIP)
kaem/fmo