Dans un communiqué diffusé vendredi, soir, le secrétaire d’État en charge du budget et du portefeuille de l’État a démenti les informations récentes diffusées dans les médias faisant état de la volonté de l’État d’engager un vaste mouvement de cession de parts concernant 82 entreprises à participation publique.
"Il n’est nullement question de réduire les parts de l’État dans 82 entreprises (...). Cette information n’est en ligne avec les actions envisagées par le gouvernement", précise le communiqué.
Le texte indique que lors du conseil des ministres du 9 janvier dernier, le gouvernement a principalement réaffirmé certains principes devant guider l’action de l’État en matière de prise des participations à savoir que l’État devrait créer ou prendre des participations financières majoritaires que pour faciliter l’exécution de la politique publique et assurer les missions d’intérêt public, sauf si le secteur privé a une meilleure capacité à exécuter le service à moindre coût et/ou avec une meilleure qualité de service.
L’État peut également aider au développement d’un secteur stratégique ou intervenir ponctuellement pour la restructuration d’entités, afin d’atténuer certains risques économiques importants, poursuit le texte.
Ainsi, sur cette base certaines réflexions sont régulièrement menées en vue d’un redimensionnement du portefeuille d’entreprises publiques et pour améliorer leurs performances.
R. K.
"Il n’est nullement question de réduire les parts de l’État dans 82 entreprises (...). Cette information n’est en ligne avec les actions envisagées par le gouvernement", précise le communiqué.
Le texte indique que lors du conseil des ministres du 9 janvier dernier, le gouvernement a principalement réaffirmé certains principes devant guider l’action de l’État en matière de prise des participations à savoir que l’État devrait créer ou prendre des participations financières majoritaires que pour faciliter l’exécution de la politique publique et assurer les missions d’intérêt public, sauf si le secteur privé a une meilleure capacité à exécuter le service à moindre coût et/ou avec une meilleure qualité de service.
L’État peut également aider au développement d’un secteur stratégique ou intervenir ponctuellement pour la restructuration d’entités, afin d’atténuer certains risques économiques importants, poursuit le texte.
Ainsi, sur cette base certaines réflexions sont régulièrement menées en vue d’un redimensionnement du portefeuille d’entreprises publiques et pour améliorer leurs performances.
R. K.