Sinfra- La fondation d'Augustin, une association à but non lucratif, a décidé d'offrir un bâtiment de trois salles de classe avec des latrines au Groupe scolaire Djamadji de Sinfra (région de la Marahoué, Centre-ouest).
La cérémonie de lancement du projet, faite, mercredi, en présence de tous les acteurs du système éducatif de Sinfra.
La présidente de la fondation, Sylvie Tanoh a expliqué que ce projet fait suite à une sollicitation de sa fondation par un conseiller municipal local. Elle a donc invité le comité de gestion des établissements scolaires (COGES), les directeurs d'écoles, les enseignants à créer les conditions en dégageant les ordures et en aménageant le site identifié pour la construction du bâtiment.
« Si vous ne faites rien pour rendre le site prêt pour le début des travaux dans quelques jours, le projet vous sera retiré » a-t-elle prévenu, tout en signifiant que la communauté doit être partie prenante du projet aussi bien avant sa mise en œuvre qu'au niveau de son entretien après sa réalisation.
Le secrétaire général de la préfecture, Akpa Aimé Roland, a salué l'esprit du projet et encouragé la fondation dans ses actions en faveur du bien-être des populations en matière de santé et d'éducation.
Une série de rencontres sont prévues en vue de lever les obstacles avant le début de l'ouvrage. Les financements sont déjà disponibles, selon les responsables de la fondation.
gnj/kkf/fmo
La cérémonie de lancement du projet, faite, mercredi, en présence de tous les acteurs du système éducatif de Sinfra.
La présidente de la fondation, Sylvie Tanoh a expliqué que ce projet fait suite à une sollicitation de sa fondation par un conseiller municipal local. Elle a donc invité le comité de gestion des établissements scolaires (COGES), les directeurs d'écoles, les enseignants à créer les conditions en dégageant les ordures et en aménageant le site identifié pour la construction du bâtiment.
« Si vous ne faites rien pour rendre le site prêt pour le début des travaux dans quelques jours, le projet vous sera retiré » a-t-elle prévenu, tout en signifiant que la communauté doit être partie prenante du projet aussi bien avant sa mise en œuvre qu'au niveau de son entretien après sa réalisation.
Le secrétaire général de la préfecture, Akpa Aimé Roland, a salué l'esprit du projet et encouragé la fondation dans ses actions en faveur du bien-être des populations en matière de santé et d'éducation.
Une série de rencontres sont prévues en vue de lever les obstacles avant le début de l'ouvrage. Les financements sont déjà disponibles, selon les responsables de la fondation.
gnj/kkf/fmo