Bouna- La région du Bounkani, qui jusque-là n'avait pas encore observé d'arrêt de cours, a été finalement atteint par la grève lundi, a constaté l'AIP.
Lundi dès 8H, un collectif d'enseignants non identifié a fait irruption au lycée moderne de Bouna, demandant aux élèves de sortir des classes manu militari. Le collectif éparpillé dans la ville a ensuite migré vers le collège moderne avant de se lancer à l'assaut des autres départements de la région.
Ce mardi, tous les établissements secondaires publics sont fermés, élèves et enseignants sont restés à la maison, a-t-on constaté sur place.
Les autorités éducatives disent déplorer cette situation et invitent les enseignants du Bounkani, qui ont toujours été exemplaires, à la reprise immédiate des cours. Quant au collectif des enseignants délogeurs, après leur virée à Bouna, ils restent à ce jour introuvables.
Depuis le 22 janvier, la coalition du secteur éducation-formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI) a entamé une grève pour réclamer entre autres une augmentation d’indemnité de logement, la suspension des cours de mercredi au primaire, la suppression du concours des instituteurs adjoints (IA), le paiement de la somme de 500.000 francs CFA aux professeurs ex-contractuels.
on/fmo
Lundi dès 8H, un collectif d'enseignants non identifié a fait irruption au lycée moderne de Bouna, demandant aux élèves de sortir des classes manu militari. Le collectif éparpillé dans la ville a ensuite migré vers le collège moderne avant de se lancer à l'assaut des autres départements de la région.
Ce mardi, tous les établissements secondaires publics sont fermés, élèves et enseignants sont restés à la maison, a-t-on constaté sur place.
Les autorités éducatives disent déplorer cette situation et invitent les enseignants du Bounkani, qui ont toujours été exemplaires, à la reprise immédiate des cours. Quant au collectif des enseignants délogeurs, après leur virée à Bouna, ils restent à ce jour introuvables.
Depuis le 22 janvier, la coalition du secteur éducation-formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI) a entamé une grève pour réclamer entre autres une augmentation d’indemnité de logement, la suspension des cours de mercredi au primaire, la suppression du concours des instituteurs adjoints (IA), le paiement de la somme de 500.000 francs CFA aux professeurs ex-contractuels.
on/fmo