Le mouvement, « Les mamans indignées de Côte d'Ivoire», une organisation de parents d'élèves, a appelé samedi à Abidjan, les enseignants ivoiriens à lever leur mot d'ordre de grève dans le primaire et le secondaire, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« Nous lançons un vibrant appel à tous les enseignants de Côte d'Ivoire pour la reprise effective des cours dès le retour des congés de février, c'est-à-dire, le lundi 25 février 2019», a plaidé, dans une déclaration, Honorine Assoa, la présidente de cette association en présence de plusieurs membres de son organisation.
Poursuivant son plaidoyer à l'endroit des enseignants ivoiriens qui sont en grève depuis près de trois semaines, Mme Assoa leur a demandé de permettre « à nos enfants de bénéficier d'une éducation et d'une formation de qualité afin qu'ils deviennent des agents de développement pour leur pays comme eux le sont aujourd'hui».
Dans le même élan, elle a encouragé les enseignants grévistes « à agir avec un sens aigu de la responsabilité et du civisme pour le retour de la sérénité dans les écoles ».
Vendredi, au terme d'une rencontre de près de sept heure d'horloge entre le ministère ivoirien de l'éducation nationale et des organisations syndicales d'enseignants, les deux parties ont annoncé la mise en œuvre d'un chronogramme de discussion dès lundi.
Invoquant la trêve sociale de cinq ans signée en 2017 entre le gouvernement ivoirien et les organisations syndicales de fonctionnaires, Kandia Camara, la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement technique et de la formation professionnelle, a estimé que ces derniers ne devraient pas faire de grève jusqu'en 2022.
Depuis trois semaines, l'école est perturbée en Côte d'Ivoire en raison d'une grève d'enseignants qui réclament une amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
LB/ls/APA
« Nous lançons un vibrant appel à tous les enseignants de Côte d'Ivoire pour la reprise effective des cours dès le retour des congés de février, c'est-à-dire, le lundi 25 février 2019», a plaidé, dans une déclaration, Honorine Assoa, la présidente de cette association en présence de plusieurs membres de son organisation.
Poursuivant son plaidoyer à l'endroit des enseignants ivoiriens qui sont en grève depuis près de trois semaines, Mme Assoa leur a demandé de permettre « à nos enfants de bénéficier d'une éducation et d'une formation de qualité afin qu'ils deviennent des agents de développement pour leur pays comme eux le sont aujourd'hui».
Dans le même élan, elle a encouragé les enseignants grévistes « à agir avec un sens aigu de la responsabilité et du civisme pour le retour de la sérénité dans les écoles ».
Vendredi, au terme d'une rencontre de près de sept heure d'horloge entre le ministère ivoirien de l'éducation nationale et des organisations syndicales d'enseignants, les deux parties ont annoncé la mise en œuvre d'un chronogramme de discussion dès lundi.
Invoquant la trêve sociale de cinq ans signée en 2017 entre le gouvernement ivoirien et les organisations syndicales de fonctionnaires, Kandia Camara, la ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement technique et de la formation professionnelle, a estimé que ces derniers ne devraient pas faire de grève jusqu'en 2022.
Depuis trois semaines, l'école est perturbée en Côte d'Ivoire en raison d'une grève d'enseignants qui réclament une amélioration de leurs conditions de vie et de travail.
LB/ls/APA