Ferkessédougou- Les élèves du Lycée moderne de Ferkessédougou, par la voix de leur porte-parole, ont souhaité un dénouement heureux à la grève des enseignants qui sévit dans les établissements scolaires depuis quatre semaines.
Vendredi, en marge d'une cérémonie de remise de tables-bancs au Lycée, les élèves ont exprimé leurs préoccupations au président du Conseil régional du Tchologo, Téné Birahima Ouattara, représenté à l'occasion par Traoré Bamoudien.
"Cela fait quatre semaines que les cours sont perturbés à cause de la grève des enseignants. Aussi, souhaiterions-nous que la situation trouve un dénouement heureux pour le grand bonheur des élèves de la Côte d'Ivoire en général, et en particulier pour ceux de la région du Tchologo", a déclaré en substance, le porte-parole des 7.000 élèves du Lycée moderne, N'gbé Nathan.
En dépit des appels à la reprise du travail lancés par la ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnels, Kandia Camara, la plupart des professeurs brillent par leur absence dans les salles de classe.
Interrogés par l'AIP, des élèves ont affirmé disent accueillir avec grand espoir, la volonté de la tutelle de discuter avec les différents syndicats en grève, à partir du 18 février.
ti/cmas
Vendredi, en marge d'une cérémonie de remise de tables-bancs au Lycée, les élèves ont exprimé leurs préoccupations au président du Conseil régional du Tchologo, Téné Birahima Ouattara, représenté à l'occasion par Traoré Bamoudien.
"Cela fait quatre semaines que les cours sont perturbés à cause de la grève des enseignants. Aussi, souhaiterions-nous que la situation trouve un dénouement heureux pour le grand bonheur des élèves de la Côte d'Ivoire en général, et en particulier pour ceux de la région du Tchologo", a déclaré en substance, le porte-parole des 7.000 élèves du Lycée moderne, N'gbé Nathan.
En dépit des appels à la reprise du travail lancés par la ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et de la Formation professionnels, Kandia Camara, la plupart des professeurs brillent par leur absence dans les salles de classe.
Interrogés par l'AIP, des élèves ont affirmé disent accueillir avec grand espoir, la volonté de la tutelle de discuter avec les différents syndicats en grève, à partir du 18 février.
ti/cmas