Lutter contre la pollution plastique, garantir un meilleur environnement de travail propice à l'apprentissage des enfants en Côte d'Ivoire. C'est l'objectif que s'est assigné le Fonds des Nations-Unies pour l'enfance ( Unicef). D'où l'idée de construction de 450 salles de classe faites de plastique recyclé pour les élèves du préscolaire et du primaire à Divo, Toumodi( village Sakassou) et Port-Bouët(Gonzague ville).
Une visite organisée le mardi 19 février, dans les deux dernières villes, par le Réseau des Acteurs de Médias pour les Droits de l'Enfant en Côte d'Ivoire (Ramede) avec les professionnels des médias a permis de constater les faits. Ce sont, en effet 2 salles de classes qui ont été construites à l'Epp Gonzagueville. Une action de Unicef saluée par Mme Tirangué Diomandé, la Directrice de ladite école.
"Le projet est bienvenue parce qu'on travaillait dans des conditions très difficiles. Mon bureau servait de salle de classe. À cause du nombre pléthorique des élèves, une section est obligée de venir dehors sur la terrasse pour travailler. On ne pouvait même pas circuler dans les salles de classe. Une fois, j'ai failli tomber, la maîtresse aussi. Grâce à Unicef maintenant ça va" a-t-elle indiqué.
À Sakassou, village situé dans la localité de Toumodi, des classes en terre battue servent de cours aux écoliers et enseignants. À l'initiative de l'organisation internationale de défense des droits de l'enfant, 3 salles de classes avec en moyenne une capacité d'accueil de 50 élèves par salle accueilleront dans les prochains jours les élèves de l'Epp Sakassou Iep Toumodi. Un projet selon le Directeur M. Koffi Konan, qui permettra aux Acteurs du système scolaire de dispenser les cours dans de bonnes conditions.
Pour le Dr. Aboubacar Kampo, Représentant de l'Unicef en Côte d'Ivoire, ce projet de construction écologique, durable et moins coûteuse " contribuera à accélérer la construction d'écoles en Côte d'Ivoire et permettra à plus d'enfants d'apprendre dans de meilleures conditions tout en contribuant à lutter contre la pollution plastique "
Annonçant cette année, l'installation d'une usine de transformation de déchets plastique en matériaux de construction en Côte d'Ivoire, afin d'étendre le projet pourvoyeur d'emplois.
C. K.
Une visite organisée le mardi 19 février, dans les deux dernières villes, par le Réseau des Acteurs de Médias pour les Droits de l'Enfant en Côte d'Ivoire (Ramede) avec les professionnels des médias a permis de constater les faits. Ce sont, en effet 2 salles de classes qui ont été construites à l'Epp Gonzagueville. Une action de Unicef saluée par Mme Tirangué Diomandé, la Directrice de ladite école.
"Le projet est bienvenue parce qu'on travaillait dans des conditions très difficiles. Mon bureau servait de salle de classe. À cause du nombre pléthorique des élèves, une section est obligée de venir dehors sur la terrasse pour travailler. On ne pouvait même pas circuler dans les salles de classe. Une fois, j'ai failli tomber, la maîtresse aussi. Grâce à Unicef maintenant ça va" a-t-elle indiqué.
À Sakassou, village situé dans la localité de Toumodi, des classes en terre battue servent de cours aux écoliers et enseignants. À l'initiative de l'organisation internationale de défense des droits de l'enfant, 3 salles de classes avec en moyenne une capacité d'accueil de 50 élèves par salle accueilleront dans les prochains jours les élèves de l'Epp Sakassou Iep Toumodi. Un projet selon le Directeur M. Koffi Konan, qui permettra aux Acteurs du système scolaire de dispenser les cours dans de bonnes conditions.
Pour le Dr. Aboubacar Kampo, Représentant de l'Unicef en Côte d'Ivoire, ce projet de construction écologique, durable et moins coûteuse " contribuera à accélérer la construction d'écoles en Côte d'Ivoire et permettra à plus d'enfants d'apprendre dans de meilleures conditions tout en contribuant à lutter contre la pollution plastique "
Annonçant cette année, l'installation d'une usine de transformation de déchets plastique en matériaux de construction en Côte d'Ivoire, afin d'étendre le projet pourvoyeur d'emplois.
C. K.
