Abidjan, le 21 février 2019 - Invitée des "Rendez-Vous du Gouvernement" du Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG) le jeudi 21 février à Abidjan, la ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Kandia Camara, a indiqué que les discussions sur les revendications des syndicats d’enseignants en grève depuis plus de deux semaines se poursuivent.
« Nous continuons de discuter avec les enseignants. Les discussions se déroulent bien ; et depuis le début du déclenchement de leur mouvement, nous sommes en discussion et espérons que les syndicats vont lever leur mot d’ordre afin que les cours reprennent le 25 février », a déclaré la ministre.
Kandia Camara a rappelé que pour conclure la trêve sociale avec le gouvernement, les syndicats n’ont pris qu’un engagement : celui d’apaiser le front social. L’Etat lui en a pris plusieurs qu’il a respectés.
Ainsi, pour assurer la trêve sociale, le gouvernement a procédé, entre autres, au paiement d’effets financiers du CAP des instituteurs 1988-1992, à l’apurement de 50% des effets des bonifications et reclassements des personnels du secteur éducation-formation, au déblocage des salaires et au paiement en cours du stock des arriérés.
Elle a appelé les partenaires sociaux à saisir la main tendue du gouvernement, en vue de permettre à l’école ivoirienne de poursuivre les actions en faveur de l’amélioration des résultats observée ces dernières années.
« Nous continuons de discuter avec les enseignants. Les discussions se déroulent bien ; et depuis le début du déclenchement de leur mouvement, nous sommes en discussion et espérons que les syndicats vont lever leur mot d’ordre afin que les cours reprennent le 25 février », a déclaré la ministre.
Kandia Camara a rappelé que pour conclure la trêve sociale avec le gouvernement, les syndicats n’ont pris qu’un engagement : celui d’apaiser le front social. L’Etat lui en a pris plusieurs qu’il a respectés.
Ainsi, pour assurer la trêve sociale, le gouvernement a procédé, entre autres, au paiement d’effets financiers du CAP des instituteurs 1988-1992, à l’apurement de 50% des effets des bonifications et reclassements des personnels du secteur éducation-formation, au déblocage des salaires et au paiement en cours du stock des arriérés.
Elle a appelé les partenaires sociaux à saisir la main tendue du gouvernement, en vue de permettre à l’école ivoirienne de poursuivre les actions en faveur de l’amélioration des résultats observée ces dernières années.