Abidjan - La ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Kandia Camara, a indiqué à une conférence de presse, le jeudi 21 février 2019, que la réinstauration des cours de mercredi était nécessaire pour permettre au pays d’avoir un quantum horaire satisfaisant et obtenir un meilleur rendement.
« C’est une nécessité pour permettre à notre pays de respecter le minimum des quantums horaires imposés par les normes internationales, pour la crédibilité de nos diplômes », a soutenu Kandia Camara.
Selon la ministre, cette réinstauration s’est faite au profit de l’amélioration de l’enseignement. Avec un quantum horaire se situant à 1020 heures par an actuellement, contre 800 heures par le passé, la Côte d’Ivoire est proche des normes admises, a-t-elle indiqué.
La ministre a relevé que cette réinstauration obéissait également aux principes d’égalité, d’équité et de gratuité de l’école publique, contrairement aux principes de cours payants qui étaient en vigueur par le passé dans certaines écoles.
Pour Kandia Camara, tous les efforts engagés par le gouvernement visent à permettre à la Côte d’Ivoire de retrouver sa place de locomotive en matière d’éducation dans la sous-région.
« C’est une nécessité pour permettre à notre pays de respecter le minimum des quantums horaires imposés par les normes internationales, pour la crédibilité de nos diplômes », a soutenu Kandia Camara.
Selon la ministre, cette réinstauration s’est faite au profit de l’amélioration de l’enseignement. Avec un quantum horaire se situant à 1020 heures par an actuellement, contre 800 heures par le passé, la Côte d’Ivoire est proche des normes admises, a-t-elle indiqué.
La ministre a relevé que cette réinstauration obéissait également aux principes d’égalité, d’équité et de gratuité de l’école publique, contrairement aux principes de cours payants qui étaient en vigueur par le passé dans certaines écoles.
Pour Kandia Camara, tous les efforts engagés par le gouvernement visent à permettre à la Côte d’Ivoire de retrouver sa place de locomotive en matière d’éducation dans la sous-région.