La Coalition des syndicats du secteur éducation et formation de Côte d'Ivoire (Cosef-Côte d'Ivoire), qui observe depuis plus d’un mois une grève pour réclamer des indemnités de logement, annonce la reconduction de son mouvement lundi, après les « congés de février».
« Demain, lundi 25 février (2019), pas de cours jusqu'à satisfaction de nos revendications », écrit dans une note transmise dimanche à APA, Pacôme Attaby, porte-parole de la Cosef, alors que reprennent ce lundi les cours après les « congés de février».
L’organisation syndicale menace d’une année blanche s’il n’y a pas d’indemnités de logement. Les enseignants du primaire et ceux du premier cycle du secondaire ont 40.000 Fcfa d’indemnité de logement, tandis que ceux du second cycle de l’enseignement secondaire ont 50.000 Fcfa.
« Pour tous les enseignants du secondaire, tout grade confondu, nous demandons 180.000 Fcfa d’indemnité de logement et pour les enseignants du primaire, nous demandons 120.000 Fcfa sans indexation», réclame le syndicat.
La Cosef a suspendu, il y a quelques jours, les discussions entamées avec le gouvernement à la suite d’une arrestation de deux responsables syndicaux de la Cordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d'Ivoire (Cnec).
AP/ls/APA
« Demain, lundi 25 février (2019), pas de cours jusqu'à satisfaction de nos revendications », écrit dans une note transmise dimanche à APA, Pacôme Attaby, porte-parole de la Cosef, alors que reprennent ce lundi les cours après les « congés de février».
L’organisation syndicale menace d’une année blanche s’il n’y a pas d’indemnités de logement. Les enseignants du primaire et ceux du premier cycle du secondaire ont 40.000 Fcfa d’indemnité de logement, tandis que ceux du second cycle de l’enseignement secondaire ont 50.000 Fcfa.
« Pour tous les enseignants du secondaire, tout grade confondu, nous demandons 180.000 Fcfa d’indemnité de logement et pour les enseignants du primaire, nous demandons 120.000 Fcfa sans indexation», réclame le syndicat.
La Cosef a suspendu, il y a quelques jours, les discussions entamées avec le gouvernement à la suite d’une arrestation de deux responsables syndicaux de la Cordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d'Ivoire (Cnec).
AP/ls/APA