Abidjan, La combinaison entre les classes passerelles et le système formel a permis à 45 607 apprenants de l’éducation non formelle d’intégrer le système formel entre 2013 et 2018, a annoncé, samedi, la ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle et de l’Enseignement technique, Kandia Camara.
D’autres par contre ont appris des métiers ou se sont lancés dans des activités génératrices de revenus, a ajouté la ministre lors du 11ème Congrès de la Fondation Karanta qui encourage et soutient l’alphabétisation et l’éducation non formelle au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, au Niger, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
Les efforts du gouvernement ivoirien pour l’école non formelle ont permis de baisser le taux d’analphabétisme en Côte d’Ivoire de 51 à 43,6%. Cette tendance devrait s’accélérer grâce à une enveloppe de 3 805 milliards F CFA qui sera consacrée, entre 2018 et 2020 au secteur éducation-formation, dont une part importante à l’éducation non formelle, a ajouté la ministre Kandia.
En attendant, les travaux de la session d’Abidjan de la Fondation Karanta devraient examiner et adopter le bilan de la mise en œuvre des stratégies et orientations, évaluer l’ensemble des conditions de développement et de poser les jalons d’actions pour joindre l’efficacité de son action à son prestige.
La Fondation Karanta est un instrument sous régional d'appui aux politiques d'alphabétisation et d'éducation non formelle.
(AIP)
aaa/kam
D’autres par contre ont appris des métiers ou se sont lancés dans des activités génératrices de revenus, a ajouté la ministre lors du 11ème Congrès de la Fondation Karanta qui encourage et soutient l’alphabétisation et l’éducation non formelle au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, au Niger, au Sénégal et en Côte d’Ivoire.
Les efforts du gouvernement ivoirien pour l’école non formelle ont permis de baisser le taux d’analphabétisme en Côte d’Ivoire de 51 à 43,6%. Cette tendance devrait s’accélérer grâce à une enveloppe de 3 805 milliards F CFA qui sera consacrée, entre 2018 et 2020 au secteur éducation-formation, dont une part importante à l’éducation non formelle, a ajouté la ministre Kandia.
En attendant, les travaux de la session d’Abidjan de la Fondation Karanta devraient examiner et adopter le bilan de la mise en œuvre des stratégies et orientations, évaluer l’ensemble des conditions de développement et de poser les jalons d’actions pour joindre l’efficacité de son action à son prestige.
La Fondation Karanta est un instrument sous régional d'appui aux politiques d'alphabétisation et d'éducation non formelle.
(AIP)
aaa/kam