Gagnoa, Une menace de sanction grave pèse dorénavant sur les perturbateurs de l’école à Gagnoa, si l’on s’en tient aux propos tenus par le préfet de la région du Goh, préfet du département de Gagnoa, Sanogo Al-Hassana, lundi, lors de la clôture d’une rencontre d’échange avec tous les partenaires de l’école.
« Je me suis toujours gardé de prendre des sanctions au départ, mais maintenant, chacun est prévenu », a déclaré et Sanogo Al-Hassana, devant les responsables des structures et syndicat des établissements publics et privés, des autorités administratives et religieuses ainsi que des forces de sécurité, réunis pour trouver une issue au blocage depuis bientôt trois mois, de l’école à Gagnoa.
Cet avertissement concerne les membres des syndicats d’enseignants, qui sous prétexte de mener des piquets de grève, menacent ceux des leurs qui voudraient reprendre les cours. Sont aussi visés, les élèves qui délogent d’autres apprenants des établissements privés notamment, pour empêcher disent-ils, que des enseignants de l’Etat, grévistes, n’aillent donner cours contre rémunération.
A sa suite, le commissaire divisionnaire, Timité, nouveau préfet de police, a annoncé qu’il prendra des « mesures vigoureuses » pour protéger ceux qui veulent aller à l’école, avant de lancer une sévère mise en garde aux agitateurs. « Que le fonctionnaire qui ne veut pas dispenser les cours, reste chez lui. Je serai intraitable vis-à-vis des perturbateurs », a averti le chef de la police de Gagnoa.
Toutes les parties présentes à cette rencontre ont souhaité la reprise de cours, vu que « la situation n’a que trop duré ». Si les syndicats d’enseignants ont choisi de s’en remettre à leur hiérarchie au niveau national, les fondateurs d’écoles privées ont réclamé une protection policière pour reprendre les cours. « Comptez sur moi », a assuré le commissaire.
Un comité restreint d’une douzaine de personne a été mis sur pied et appelé à une reprise effective des cours, dès mardi à 07H00.
(AIP)
Dd/ask
« Je me suis toujours gardé de prendre des sanctions au départ, mais maintenant, chacun est prévenu », a déclaré et Sanogo Al-Hassana, devant les responsables des structures et syndicat des établissements publics et privés, des autorités administratives et religieuses ainsi que des forces de sécurité, réunis pour trouver une issue au blocage depuis bientôt trois mois, de l’école à Gagnoa.
Cet avertissement concerne les membres des syndicats d’enseignants, qui sous prétexte de mener des piquets de grève, menacent ceux des leurs qui voudraient reprendre les cours. Sont aussi visés, les élèves qui délogent d’autres apprenants des établissements privés notamment, pour empêcher disent-ils, que des enseignants de l’Etat, grévistes, n’aillent donner cours contre rémunération.
A sa suite, le commissaire divisionnaire, Timité, nouveau préfet de police, a annoncé qu’il prendra des « mesures vigoureuses » pour protéger ceux qui veulent aller à l’école, avant de lancer une sévère mise en garde aux agitateurs. « Que le fonctionnaire qui ne veut pas dispenser les cours, reste chez lui. Je serai intraitable vis-à-vis des perturbateurs », a averti le chef de la police de Gagnoa.
Toutes les parties présentes à cette rencontre ont souhaité la reprise de cours, vu que « la situation n’a que trop duré ». Si les syndicats d’enseignants ont choisi de s’en remettre à leur hiérarchie au niveau national, les fondateurs d’écoles privées ont réclamé une protection policière pour reprendre les cours. « Comptez sur moi », a assuré le commissaire.
Un comité restreint d’une douzaine de personne a été mis sur pied et appelé à une reprise effective des cours, dès mardi à 07H00.
(AIP)
Dd/ask