Abidjan - La ministre de l’Assainissement et de la salubrité, Anne Désirée Ouloto, a procédé, mardi, à Abidjan, à l’ouverture d’un atelier sur la réforme de la Brigade de la salubrité urbaine (BSU), en vue de la rendre, "nouvelle, efficace, forte et dynamique" pour répondre aux exigences d’un meilleur cadre de vie pour les populations.
Pour Anne Ouloto, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays africains, se doit de faire réussir à ses citoyens, le changement de comportement pour s’inscrire dans la dynamique d’un cadre de vie sain tel que prôné par le gouvernement. "Malgré tous les efforts, les incivilités des populations vont crescendo. Il nous faut agir vite et inverser la tendance", a-t-elle indiqué.
Elle a rappelé que le gouvernement, dans sa dynamique de permettre aux populations d’accomplir leur devoir citoyen en matière de salubrité et d’hygiène, a décidé de rattacher la brigade de salubrité à son ministère. "Nous devons passer, ou du moins, renforcer la coercition pour assurer une discipline dans nos quartiers, nos villages et nos villes", a suggéré Anne Ouloto.
La ministre a expliqué que l’objectif de cet atelier est de donner une nouvelle orientation, une nouvelle dynamique à cet outil qui "devra soutenir les actions du gouvernement et contribuer à pérenniser les acquis en matières de salubrité".
La représentante du maire de la commune du Plateau a salué l’initiative de cet atelier qui selon elle, permettra de perfectionner cet outil important. "Nos populations doivent être éduquées à ces gestes anodins pour préserver notre environnement (…) que nous devons transférer sain, aux nouvelles générations", a-t-elle indiqué.
La Brigade de la salubrité urbaine a été mise en place par décret 04 octobre 2007. Elle a dans son fonctionnement connu des difficultés d’ordre juridique, organisationnel et matériel.
gak/fmo
Pour Anne Ouloto, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays africains, se doit de faire réussir à ses citoyens, le changement de comportement pour s’inscrire dans la dynamique d’un cadre de vie sain tel que prôné par le gouvernement. "Malgré tous les efforts, les incivilités des populations vont crescendo. Il nous faut agir vite et inverser la tendance", a-t-elle indiqué.
Elle a rappelé que le gouvernement, dans sa dynamique de permettre aux populations d’accomplir leur devoir citoyen en matière de salubrité et d’hygiène, a décidé de rattacher la brigade de salubrité à son ministère. "Nous devons passer, ou du moins, renforcer la coercition pour assurer une discipline dans nos quartiers, nos villages et nos villes", a suggéré Anne Ouloto.
La ministre a expliqué que l’objectif de cet atelier est de donner une nouvelle orientation, une nouvelle dynamique à cet outil qui "devra soutenir les actions du gouvernement et contribuer à pérenniser les acquis en matières de salubrité".
La représentante du maire de la commune du Plateau a salué l’initiative de cet atelier qui selon elle, permettra de perfectionner cet outil important. "Nos populations doivent être éduquées à ces gestes anodins pour préserver notre environnement (…) que nous devons transférer sain, aux nouvelles générations", a-t-elle indiqué.
La Brigade de la salubrité urbaine a été mise en place par décret 04 octobre 2007. Elle a dans son fonctionnement connu des difficultés d’ordre juridique, organisationnel et matériel.
gak/fmo