Guiglo - Le lycée moderne de Blolequin (Ouest, dans la région du Cavally) se trouve aujourd’hui dans un état de dégradation avancée, a constaté l’AIP sur place.
Depuis la fin de la crise post-électorale qui a laissé une image d’infrastructure abandonnée, le lycée de Blolequin, le seul établissement secondaire public du département, n'a bénéficié jusque-là d’aucune réhabilitation.
Depuis l'entrée de l'établissement jusqu'au site des infrastructures sportives en passant par la cour de de récréation, les salles de classe et les latrines, tout baigne dans une vétusté totale.
Le chef d'établissement a fait savoir que des rapports ont été portés à la connaissance de la hiérarchie, notamment le comité de gestion des établissements scolaires (COGES), ajoutant qu’un plan de réhabilitation venant du ministère serait salutaire, car les moyens, dont il dispose aujourd’hui, ne se limitent qu’aux charges de fonction de l’institution.
Tous les regards sont désormais tournés vers le nouveau conseil régional, notamment sa présidente qui, au cours de sa campagne, avait annoncé un plan pour sortir ce lycée de la précarité, pour le bien-être des apprenants et leurs formateurs, rappelle-t-on.
tt/kkf/kp
Depuis la fin de la crise post-électorale qui a laissé une image d’infrastructure abandonnée, le lycée de Blolequin, le seul établissement secondaire public du département, n'a bénéficié jusque-là d’aucune réhabilitation.
Depuis l'entrée de l'établissement jusqu'au site des infrastructures sportives en passant par la cour de de récréation, les salles de classe et les latrines, tout baigne dans une vétusté totale.
Le chef d'établissement a fait savoir que des rapports ont été portés à la connaissance de la hiérarchie, notamment le comité de gestion des établissements scolaires (COGES), ajoutant qu’un plan de réhabilitation venant du ministère serait salutaire, car les moyens, dont il dispose aujourd’hui, ne se limitent qu’aux charges de fonction de l’institution.
Tous les regards sont désormais tournés vers le nouveau conseil régional, notamment sa présidente qui, au cours de sa campagne, avait annoncé un plan pour sortir ce lycée de la précarité, pour le bien-être des apprenants et leurs formateurs, rappelle-t-on.
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