Le Comité National pour la Sauvegarde de l’Ecole de la République (CNSER) a organisé son assemblée générale constitutive, le samedi 13 avril 2019, au Groupe scolaire Kokrénou (Yamoussoukro).
Faire face à la situation délétère qui règne actuellement dans le système éducatif ivoirien avec son lot de crises à répétition, de désordres, de tensions, d’incertitudes et de désespérance, c’est le grand défi que plusieurs enseignants du primaire au supérieur, des acteurs du système éducatif, des associations de parents d’élèves, des syndicalistes, des responsables de structures d’élèves et d’étudiants, veulent relever en mutualisant leurs réflexions et en agissant ensemble pour co-aborder les problèmes de l’Ecole, de manière fondamentale.
Cette Assemblée générale a permis de doter le CNSER de ses textes fondateurs et de ses organes de direction.
Prof. Alger Jean-Francis Ekoungoun a été porté à la tête de cette nouvelle structure. Dans son exposé de cadrage, Ekoungoun a déclaré : « nous ne devons plus légitimer la mise en pièces de l’Ecole ivoirienne » avant d’ajouter : « l’Ecole de la République doit être remise à la place qui lui revient : celle de la priorité de son existence dans son ensemble.
Si nous voulons éviter les inégalités sociales et les dégâts que nous lèguent les solutions inadaptées, il nous faut dès lors, Ivoiriennes, Ivoiriens de tous bords politiques et classes sociales confondus, changer immédiatement de cap pour porter en avant la dynamique du renouveau de l’Ecole.
Osons penser autrement que les sons de cloches des chapelles syndicales sectorielles et même politiques. »
Il a également présenté les objectifs de cette plateforme citoyenne : « promouvoir une Ecole républicaine gage d’un avenir certain pour tous les enfants de la Côte d’Ivoire ; agir à travers une démarche inclusive et des méthodes participatives pour la formulation de nouvelles politiques publiques pour l’Ecole ; proposer une offre pédagogique et structurelle innovantes permettant de bâtir une nouvelle école comme lieu de fermentation de la nouvelle République et d’une nouvelle société ; promouvoir des schémas structurants et ambitieux permettant de bâtir un nouveau cadre de performances favorables à la formation d’une élite susceptible d’offrir, de façon pérenne, de solides opportunités d’emplois à la jeunesse ivoirienne ; cultiver la compétence et l’amour de la nation pour construire la Nouvelle Ecole de la République ; communiquer avec les citoyens sur les sujets de portée nationale, territoriale et locale liés à l’Ecole ».
Après sa constitution, le Comité National pour la Sauvegarde de l’Ecole de la République (CNSER) présentera, en mai, son plan stratégique d’actions pour bâtir la Nouvelle Ecole de la République.
A. E à Bouaké
Faire face à la situation délétère qui règne actuellement dans le système éducatif ivoirien avec son lot de crises à répétition, de désordres, de tensions, d’incertitudes et de désespérance, c’est le grand défi que plusieurs enseignants du primaire au supérieur, des acteurs du système éducatif, des associations de parents d’élèves, des syndicalistes, des responsables de structures d’élèves et d’étudiants, veulent relever en mutualisant leurs réflexions et en agissant ensemble pour co-aborder les problèmes de l’Ecole, de manière fondamentale.
Cette Assemblée générale a permis de doter le CNSER de ses textes fondateurs et de ses organes de direction.
Prof. Alger Jean-Francis Ekoungoun a été porté à la tête de cette nouvelle structure. Dans son exposé de cadrage, Ekoungoun a déclaré : « nous ne devons plus légitimer la mise en pièces de l’Ecole ivoirienne » avant d’ajouter : « l’Ecole de la République doit être remise à la place qui lui revient : celle de la priorité de son existence dans son ensemble.
Si nous voulons éviter les inégalités sociales et les dégâts que nous lèguent les solutions inadaptées, il nous faut dès lors, Ivoiriennes, Ivoiriens de tous bords politiques et classes sociales confondus, changer immédiatement de cap pour porter en avant la dynamique du renouveau de l’Ecole.
Osons penser autrement que les sons de cloches des chapelles syndicales sectorielles et même politiques. »
Il a également présenté les objectifs de cette plateforme citoyenne : « promouvoir une Ecole républicaine gage d’un avenir certain pour tous les enfants de la Côte d’Ivoire ; agir à travers une démarche inclusive et des méthodes participatives pour la formulation de nouvelles politiques publiques pour l’Ecole ; proposer une offre pédagogique et structurelle innovantes permettant de bâtir une nouvelle école comme lieu de fermentation de la nouvelle République et d’une nouvelle société ; promouvoir des schémas structurants et ambitieux permettant de bâtir un nouveau cadre de performances favorables à la formation d’une élite susceptible d’offrir, de façon pérenne, de solides opportunités d’emplois à la jeunesse ivoirienne ; cultiver la compétence et l’amour de la nation pour construire la Nouvelle Ecole de la République ; communiquer avec les citoyens sur les sujets de portée nationale, territoriale et locale liés à l’Ecole ».
Après sa constitution, le Comité National pour la Sauvegarde de l’Ecole de la République (CNSER) présentera, en mai, son plan stratégique d’actions pour bâtir la Nouvelle Ecole de la République.
A. E à Bouaké