Gagnoa- La ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (MENETFP), Kandia Camara Kamissoko, a lancé, dimanche, depuis Ouragahio, une sévère mise en garde aux enseignants dont certains ont prévu déclencher, mardi, sur l’ensemble du territoire, une grève pour réclamer une amélioration de leurs conditions de vie.
Kandia Camara a rappelé que l’enseignement est un sacerdoce et que nul ne saurait « saper » le travail de cohésion et de concession entrepris par le Premier ministre, pour obtenir la trêve sociale, à laquelle chacune des parties doit se conformer.
A cet effet, elle a mis en garde le nommé Pacôme Attaby et ses camarades de la plateforme de la Coalition du secteur éducation/formation (Cosefci). « Je leur demande de revenir à la table de négociation s’ils veulent continuer leur travail d’enseignant », a-t-elle martelé, s’adressant à tous, lors d’une visite de chantier de la voirie à Ouragahio.
La ministre a affirmé qu’elle n’acceptera pas qu’une grève soit déclenchée alors que tous les syndicats aient déjà paraphé l’accord à l’exception de la Cosefci. Elle a précisé que de « dures et difficiles » négociations sont menées entre les syndicats et le ministère et que les deux parties sont en phase de « finalisation », avant que les conclusions ne soient transmises au Premier ministre.
Les enseignants sortent de trois mois d’arrêt de travail, qui ont fortement perturbé l’école, aussi bien au primaire que dans le secondaire, où ils réclamaient notamment, une revalorisation de l’indemnité de logements.
dd/fmo
Kandia Camara a rappelé que l’enseignement est un sacerdoce et que nul ne saurait « saper » le travail de cohésion et de concession entrepris par le Premier ministre, pour obtenir la trêve sociale, à laquelle chacune des parties doit se conformer.
A cet effet, elle a mis en garde le nommé Pacôme Attaby et ses camarades de la plateforme de la Coalition du secteur éducation/formation (Cosefci). « Je leur demande de revenir à la table de négociation s’ils veulent continuer leur travail d’enseignant », a-t-elle martelé, s’adressant à tous, lors d’une visite de chantier de la voirie à Ouragahio.
La ministre a affirmé qu’elle n’acceptera pas qu’une grève soit déclenchée alors que tous les syndicats aient déjà paraphé l’accord à l’exception de la Cosefci. Elle a précisé que de « dures et difficiles » négociations sont menées entre les syndicats et le ministère et que les deux parties sont en phase de « finalisation », avant que les conclusions ne soient transmises au Premier ministre.
Les enseignants sortent de trois mois d’arrêt de travail, qui ont fortement perturbé l’école, aussi bien au primaire que dans le secondaire, où ils réclamaient notamment, une revalorisation de l’indemnité de logements.
dd/fmo