L’année scolaire va connaître un réaménagement du fait des perturbations engendrées par les grèves provoquées, a annoncé, lundi, la ministre ivoirienne de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara.
Selon la ministre, « les arrêts incessants des cours dans les établissements ont eu un impact négatif considérable non seulement sur le rythme des apprentissages, mais également sur le contrôle continu et les évaluations sommatives internes ».
D’où, la « nécessité de prendre des mesures réglementaires et pédagogiques dans l’intérêt supérieur de l’élève et pour que le système éducatif ivoirien reste conforme aux standards et normes internationaux en matière de quantum horaire et de base curriculaire par discipline d’enseignement ».
« Dans l’enseignement général, l’année scolaire va fonctionner en deux semestres au lieu de trois trimestres. Dans l’enseignement technique et la formation professionnelle, le mode de fonctionnement ne change pas (semestres) », a-t-elle annoncé.
En ce qui concerne le calendrier des examens, celui du Certificat d’études primaires et élémentaires (CEPE) va se dérouler « le lundi 1er juillet 2019 au lieu du 5 juin comme initialement annoncé ».
Par ailleurs la ministre a dénoncé la grève projetée par certains enseignants dont des membres de la Coalition des Syndicats du Secteur Education Formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI).
Pour la tutelle, il s’agit « d’une grève illégale, une grève de trop ». « Que cherche ce syndicat en réalité ? Perturber les examens à grands tirages ? Pousser les enfants dans la rue ? Faire peur aux partenaires ? », s’interroge la ministre qui promet des sanctions à l’encontre de tous ceux qui vont s’absenter de leur poste.
L’école ivoirienne a été, durant plusieurs semaines, perturbée par des grèves des enseignants .Les syndicats réclament entre autres des indemnités de logement, la suppression des emplois d’instituteurs adjoints recrutés avec le Brevet d’études de premier cycle (BEPC) et la rémunération de la surveillance des examens.
SY/hs/ls/APA
Selon la ministre, « les arrêts incessants des cours dans les établissements ont eu un impact négatif considérable non seulement sur le rythme des apprentissages, mais également sur le contrôle continu et les évaluations sommatives internes ».
D’où, la « nécessité de prendre des mesures réglementaires et pédagogiques dans l’intérêt supérieur de l’élève et pour que le système éducatif ivoirien reste conforme aux standards et normes internationaux en matière de quantum horaire et de base curriculaire par discipline d’enseignement ».
« Dans l’enseignement général, l’année scolaire va fonctionner en deux semestres au lieu de trois trimestres. Dans l’enseignement technique et la formation professionnelle, le mode de fonctionnement ne change pas (semestres) », a-t-elle annoncé.
En ce qui concerne le calendrier des examens, celui du Certificat d’études primaires et élémentaires (CEPE) va se dérouler « le lundi 1er juillet 2019 au lieu du 5 juin comme initialement annoncé ».
Par ailleurs la ministre a dénoncé la grève projetée par certains enseignants dont des membres de la Coalition des Syndicats du Secteur Education Formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI).
Pour la tutelle, il s’agit « d’une grève illégale, une grève de trop ». « Que cherche ce syndicat en réalité ? Perturber les examens à grands tirages ? Pousser les enfants dans la rue ? Faire peur aux partenaires ? », s’interroge la ministre qui promet des sanctions à l’encontre de tous ceux qui vont s’absenter de leur poste.
L’école ivoirienne a été, durant plusieurs semaines, perturbée par des grèves des enseignants .Les syndicats réclament entre autres des indemnités de logement, la suppression des emplois d’instituteurs adjoints recrutés avec le Brevet d’études de premier cycle (BEPC) et la rémunération de la surveillance des examens.
SY/hs/ls/APA