Dimbokro- La mot d'ordre de grève lancé par la Coalition des syndicats du secteur éducatif/formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI), pour ce mardi, est partiellement suivi dans les établissements secondaires publics de Dimbokro, a constaté l’AIP.
En décidant cette reprise du 14 au 17 mai 2019, la COSEFCI, après un mois de suspension, veut selon elle, exiger au gouvernement de meilleures conditions de vie et de travail.
Au collège moderne de Dimbokro, la grève est largement suivie. « Sur 17 professeurs attendus à la première heure aucun enseignement n’a été donné. A la deuxième heure 20 professeurs étaient attendus, un seul a répondu présent », a indiqué le principal de ce collège Bamba Abdoulaye, déplorant cette attitude du corps professoral.
Au lycée moderne de Dimbokro, par contre, sur 52 enseignants attendus à la première heure 47 professeurs ont donné les cours. « A la deuxième heure presque tous les enseignants attendus étaient présents », a affirmé le proviseur Cissé Issouf.
Face à cette situation, la ministre de l’Education nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara a interpellé la COSEFCI, lundi, à revenir à la table de négociation afin de continuer la discussion.
ik/tm
En décidant cette reprise du 14 au 17 mai 2019, la COSEFCI, après un mois de suspension, veut selon elle, exiger au gouvernement de meilleures conditions de vie et de travail.
Au collège moderne de Dimbokro, la grève est largement suivie. « Sur 17 professeurs attendus à la première heure aucun enseignement n’a été donné. A la deuxième heure 20 professeurs étaient attendus, un seul a répondu présent », a indiqué le principal de ce collège Bamba Abdoulaye, déplorant cette attitude du corps professoral.
Au lycée moderne de Dimbokro, par contre, sur 52 enseignants attendus à la première heure 47 professeurs ont donné les cours. « A la deuxième heure presque tous les enseignants attendus étaient présents », a affirmé le proviseur Cissé Issouf.
Face à cette situation, la ministre de l’Education nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara a interpellé la COSEFCI, lundi, à revenir à la table de négociation afin de continuer la discussion.
ik/tm
