Abengourou- Les trois établissements secondaires publics de la ville d’Abengourou, notamment, les lycées modernes 1 et 2, le lycée départemental et le collège moderne, sont paralysés depuis ce lundi par une grève des enseignants, a constaté l’AIP.
Ces derniers, qui revendiquent de meilleures conditions de vie et de travail, n’étaient pas à leurs postes de travail obligeant les élèves, qui se sont rendus dans leurs établissements respectifs aux premières heures de la journée pour suivre les cours, à regagner leurs domiciles.
Les revendications de ces enseignants grévistes, portent, entre autres, sur la revalorisation de leurs indemnités de logement, du reversement des 500 000 FCFA dus aux enseignants contractuels, de l’intégration à la fonction publique du résiduel des radiés de 2014 pour fait de grève.
Cette nouvelle grève de quatre jours, décrétée par la coalition des syndicats du secteur de l’éducation et de la formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI), fait suit à celle qui avait paralysée l’école ivoirienne pendant environ deux mois, notamment, de janvier à février.
Le gouvernement, qui juge cette grève de trop, entend jouer la carte de la fermeté. Dans une déclaration rendue publique, la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara, menace d’appliquer des ponctions sur les salaires de ces enseignants grévistes et de les extirper des rangs des enseignants.
rkk
Ces derniers, qui revendiquent de meilleures conditions de vie et de travail, n’étaient pas à leurs postes de travail obligeant les élèves, qui se sont rendus dans leurs établissements respectifs aux premières heures de la journée pour suivre les cours, à regagner leurs domiciles.
Les revendications de ces enseignants grévistes, portent, entre autres, sur la revalorisation de leurs indemnités de logement, du reversement des 500 000 FCFA dus aux enseignants contractuels, de l’intégration à la fonction publique du résiduel des radiés de 2014 pour fait de grève.
Cette nouvelle grève de quatre jours, décrétée par la coalition des syndicats du secteur de l’éducation et de la formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI), fait suit à celle qui avait paralysée l’école ivoirienne pendant environ deux mois, notamment, de janvier à février.
Le gouvernement, qui juge cette grève de trop, entend jouer la carte de la fermeté. Dans une déclaration rendue publique, la ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Kandia Camara, menace d’appliquer des ponctions sur les salaires de ces enseignants grévistes et de les extirper des rangs des enseignants.
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