La coalition des enseignants du secteur éducation formation (Cosefci) a appelé, mercredi, le gouvernement à commencer à régler les problèmes des enseignants s’il veut avoir des examens à grand tirage apaisés. Son porte-parole, Pacôme Attaby, l’a fait savoir au terme d’une assemblée générale extraordinaire de son organisation à l’Ecole primaire publique Sogefiha 6 de Yopougon Kouté. "Si le gouvernement veut compter sur une clique de militants politiciens pour nous contourner pour aller organiser ces examens, il sera déçu", a-t-il prévenu, souhaitant que le gouvernement se penche sur la nécessité des enfants à recevoir le savoir en trouvant des solutions aux réclamations des enseignants comme cela a été possible au Mali, pays voisin de la sous-région. La Cosefci a également décidé de suspendre son mot d’ordre de grève entamé depuis la semaine passée avec la rétention des notes des élèves tout en soulignant qu’à tout moment il peut le rétablir pour le bonheur des enseignants. Concernant les cours de mercredi, par la voix de son porte-parole, la Cosefci entend, à partir de la rentrée scolaire prochaine, ne pas faire les cours de mercredi. " Madame la ministre Kandia Camara, il n’y aura pas cours de mercredi la rentrée scolaire prochaine. On n’ira pas accompagner la roublardise de certains.", a-t-il dit.
Vers la création d’une plateforme CNEC-COSEFCI
La Cnec et la Cosefci envisage de mettre sur pied une plateforme pour défendre les droits et la liberté syndicale des enseignants du primaire, du secondaire général, technique et professionnel ainsi qu’universitaire. "C’est le brasier qui va illuminer le secteur éducation formation. Alors il faut que notre vision de concrétise", a indiqué le secrétaire général de la Cnec, Prof Johnson Kouassi, souhaitant que la présidence de cette plateforme soit dirigée par le porte-parole de la COSEFCI, Pacôme Attaby tout en estimant qu’il est plus teigneux que lui. Selon lui, étant donné que tous les enseignants quels que soient leurs grades sont des partenaires sociaux du secteur éducation formation, il est indéniable qu’ils se réunissent, au sein d’une plateforme, pour être encore plus forts pour obtenir des solutions à leur plateforme revendicative commune.
J.P
Vers la création d’une plateforme CNEC-COSEFCI
La Cnec et la Cosefci envisage de mettre sur pied une plateforme pour défendre les droits et la liberté syndicale des enseignants du primaire, du secondaire général, technique et professionnel ainsi qu’universitaire. "C’est le brasier qui va illuminer le secteur éducation formation. Alors il faut que notre vision de concrétise", a indiqué le secrétaire général de la Cnec, Prof Johnson Kouassi, souhaitant que la présidence de cette plateforme soit dirigée par le porte-parole de la COSEFCI, Pacôme Attaby tout en estimant qu’il est plus teigneux que lui. Selon lui, étant donné que tous les enseignants quels que soient leurs grades sont des partenaires sociaux du secteur éducation formation, il est indéniable qu’ils se réunissent, au sein d’une plateforme, pour être encore plus forts pour obtenir des solutions à leur plateforme revendicative commune.
J.P