Songon- La coalition des syndicats du secteur éducation et formation de Côte d'Ivoire (COSEFCI) a annoncé, dimanche, la suspension pour une durée de trois mois, du mot d'ordre de rétention des notes, lors d'une assemblée générale extraordinaire organisée à Yopougon Kouté.
Le porte-parole de la coalition, Pacôme Attaby, a justifié cette suspension par la prise en compte du plaidoyer de la Primature et l'instauration consensuelle d'un climat apaisé afin qu'elle apporte des solutions aux revendications.
La COSEFCI appelle, par ailleurs, tous les enseignants en lutte à rendre dès ce lundi, toutes les notes aux élèves, à calculer les moyennes. Les enseignants, par la voix de Pacôme Attaby, prient le gouvernement de trouver "rapidement" des solutions acceptables aux revendications sociales des enseignants ivoiriens et de reverser les salaires suspendus suite à l'interruption des cours observés de mars à avril.
Les revendications concernent entre autres la revalorisation des indemnités de logements des instituteurs et professeurs du secondaire, la suppression des cours de mercredi matin dans le primaire, le relèvement au double de toutes les primes liées aux examens scolaires et la rémunération de la surveillance de ces examens.
Les réformes et les actions menées par le gouvernement notamment pour l'accès à l'éducation, le personnel enseignant, l'environnement scolaire, depuis 2011, ont contribué à une amélioration significative des indicateurs-clés du système éducatif, selon la ministre en charge de l'éducation nationale, Kandia Camara.
tg/tad/fmo
Le porte-parole de la coalition, Pacôme Attaby, a justifié cette suspension par la prise en compte du plaidoyer de la Primature et l'instauration consensuelle d'un climat apaisé afin qu'elle apporte des solutions aux revendications.
La COSEFCI appelle, par ailleurs, tous les enseignants en lutte à rendre dès ce lundi, toutes les notes aux élèves, à calculer les moyennes. Les enseignants, par la voix de Pacôme Attaby, prient le gouvernement de trouver "rapidement" des solutions acceptables aux revendications sociales des enseignants ivoiriens et de reverser les salaires suspendus suite à l'interruption des cours observés de mars à avril.
Les revendications concernent entre autres la revalorisation des indemnités de logements des instituteurs et professeurs du secondaire, la suppression des cours de mercredi matin dans le primaire, le relèvement au double de toutes les primes liées aux examens scolaires et la rémunération de la surveillance de ces examens.
Les réformes et les actions menées par le gouvernement notamment pour l'accès à l'éducation, le personnel enseignant, l'environnement scolaire, depuis 2011, ont contribué à une amélioration significative des indicateurs-clés du système éducatif, selon la ministre en charge de l'éducation nationale, Kandia Camara.
tg/tad/fmo