Bondoukou– Un atelier de formation sur les connaissances, attitudes et pratiques de pérennisation des cantines scolaires en Côte d’Ivoire s’est tenu, jeudi, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo), en présence des autorités administratives et éducatives.
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme intégré de pérennisation des cantines scolaires (PIPCS). Il vise à vulgariser dans d’autres villages de la région du Gontougo les bonnes pratiques de pérennisation utilisées par des groupements mobilisés constitués de femmes et d’hommes ainsi que des mutuelles de développement qui ont donné des résultats satisfaisants.
L’objectif étant de donner une nouvelle impulsion au processus de pérennisation des cantines scolaires.
Selon la directrice nationale des cantines scolaires Karidja Koné Soukoulé, Sur 394 cantines à Bondoukou, 220 sont alimentées en vivres par le gouvernement pour 18 jours sur les 100 jours nécessaires à un élève, tandis que 174 cantines sont alimentées par le Programme alimentaire mondial pour 120 jours dans l’année.
« Pour combler le gap de 82 jours, nous avons besoin de mobiliser les communautés et les mutuelles pour qu’elles vulgarisent leur expertise en matière de bonnes pratiques », a-t-elle expliqué.
Plusieurs modules ont été abordés lors de cet atelier, notamment, les connaissances, attitudes et pratiques relatives à la gestion d’une broyeuse au profit d’un groupement, à l’appropriation de la cantine d’Akasso par la mutuelle du village et celle de Yomankro par le groupement du village.
Il s’agissait également d’exposer la vision de l’Agence nationale de développement rural (ANADER) sur les stratégies développées du projet d’élevage du poulet traditionnel amélioré.
Zaar/ask
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme intégré de pérennisation des cantines scolaires (PIPCS). Il vise à vulgariser dans d’autres villages de la région du Gontougo les bonnes pratiques de pérennisation utilisées par des groupements mobilisés constitués de femmes et d’hommes ainsi que des mutuelles de développement qui ont donné des résultats satisfaisants.
L’objectif étant de donner une nouvelle impulsion au processus de pérennisation des cantines scolaires.
Selon la directrice nationale des cantines scolaires Karidja Koné Soukoulé, Sur 394 cantines à Bondoukou, 220 sont alimentées en vivres par le gouvernement pour 18 jours sur les 100 jours nécessaires à un élève, tandis que 174 cantines sont alimentées par le Programme alimentaire mondial pour 120 jours dans l’année.
« Pour combler le gap de 82 jours, nous avons besoin de mobiliser les communautés et les mutuelles pour qu’elles vulgarisent leur expertise en matière de bonnes pratiques », a-t-elle expliqué.
Plusieurs modules ont été abordés lors de cet atelier, notamment, les connaissances, attitudes et pratiques relatives à la gestion d’une broyeuse au profit d’un groupement, à l’appropriation de la cantine d’Akasso par la mutuelle du village et celle de Yomankro par le groupement du village.
Il s’agissait également d’exposer la vision de l’Agence nationale de développement rural (ANADER) sur les stratégies développées du projet d’élevage du poulet traditionnel amélioré.
Zaar/ask
