Un candidat libre au baccalauréat, session 2019 à Agnibilékro, dont l'identité n'a pas été révélée, est sorti de sa salle de composition, lundi, et n'y est plus revenu à la vue du détecteur électronique de métaux.
Ce candidat, prenant part au BAC au centre Mupes d'Agnibilekrou, selon les témoignages d'autres candidats, a demandé la permission de sortir de la salle quand le président du jury, Ohié Yao, y est entré pour le contrôle et qu'il avait pris un premier téléphone. Sorti de la salle, il n'y est plus revenu jusqu'à la fin de la journée. Idem pour la deuxième journée.
Selon le chef de secrétariat du centre, lorsque le détecteur signale une présence illicite sur un candidat, ce dernier subit une fouille corporelle sur le champ. Quand il s'agit d'une fille, elle est conduite au secrétariat où des dames membres dudit secrétariat procèdent à la fouille corporelle.
Les 380 candidats du centre passent tous au scanner à chaque nouvelle épreuve. Plusieurs téléphones portables ont été saisis sur des candidats.
(AIP)
jcl/ask
Ce candidat, prenant part au BAC au centre Mupes d'Agnibilekrou, selon les témoignages d'autres candidats, a demandé la permission de sortir de la salle quand le président du jury, Ohié Yao, y est entré pour le contrôle et qu'il avait pris un premier téléphone. Sorti de la salle, il n'y est plus revenu jusqu'à la fin de la journée. Idem pour la deuxième journée.
Selon le chef de secrétariat du centre, lorsque le détecteur signale une présence illicite sur un candidat, ce dernier subit une fouille corporelle sur le champ. Quand il s'agit d'une fille, elle est conduite au secrétariat où des dames membres dudit secrétariat procèdent à la fouille corporelle.
Les 380 candidats du centre passent tous au scanner à chaque nouvelle épreuve. Plusieurs téléphones portables ont été saisis sur des candidats.
(AIP)
jcl/ask